Après avoir apprécié, entre autres,
il faut qu'on parle de Kevin,
Big Brother m'a tout autant plu.
On y retrouve toute la verve sarcastique, la profondeur d'analyse, l'esprit de provocation de
Lionel Shriver dans un roman choc partiellement autobiographique sur un sujet brûlant d'actualité : notre rapport névrotique à la nourriture, et son corollaire, l'obésité alarmante dans nos sociétés occidentales.
Commenter  J’apprécie         150