Il est important de considérer que les microbes ne sont pas nos ennemis, la plupart sont endogènes, c’est-à-dire qu’ils sont présents naturellement dans l’organisme, et participent au maintien de la vie. Il existe davantage de bactéries dans nos intestins que de cellules dans notre corps et sans ces bactéries, nous ne pourrions pas vivre. Ces constituants cellulaires ne sont pas des « agresseurs venus d’ailleurs » et ne cherchent pas à nous attaquer, ils veulent seulement vivre et ne deviennent dangereux par leur prolifération que lorsque notre organisme est en rupture d’équilibre.
On peut comparer le système immunitaire à un clavier de piano, on pourrait aussi le comparer à une armée qui se met en marche aussitôt qu’un agresseur apparaît à l’horizon. L’immunité se construit peu à peu, au cours des années, au fur et à mesure qu’elle rencontre des « ennemis », microbes, bactéries et virus des maladies infantiles, ou de simples agressions psychologiques. Ces ennemis sont appelés « antigènes » et les armes de l’immunité sont nommées « anticorps ». Chaque antigène donne lieu à la fabrication d’anticorps qui lui sont spécifiques. Une fois que le système immunitaire a produit un type d’anticorps, il le garde en stock au cas où l’antigène se représente.
On s’immisce dans les rapports naturels du système immunitaire avec des virus alors qu’il est parfaitement capable de s’en débarrasser tout seul la plupart du temps, et qu’on remplace une souche par d’autres souches à haut risque cancérigène, ce qui favorise les lésions précancéreuses et les cancers du col de l’utérus. C’est ainsi qu’on risque d’obtenir l’effet inverse de ce qu’on souhaite.
C’est ainsi que non seulement les mensonges perdurent, mais qu’ils grossissent et se multiplient au fur et à mesure qu’ils sont repris. Des multitudes de mensonges répétés à l’envi sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d’hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause.
Le tétanos ne menace aucun enfant né d’une mère en bonne santé, dans un pays où l’hygiène n’est pas remise en cause. La maladie n’est pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d’individu à individu, et, contrairement aux autres maladies infantiles, elle n’est pas immunisante.
Une erreur ne devient pas une vérité quel que soit le nombre de fois que vous la répétez. La vérité reste la vérité, même si personne n’en entend jamais parler
Si la Nature elle-même a toujours voulu sauvegarder le caractère sacré du sang humain et a tout organisé dans ce sens, pouvons- nous imaginer savoir et faire mieux qu’elle ?
Il est heureux que des médecins qui ne mettent pourtant pas en doute le dogme de la vaccination constatent à leur tour à quel point il est périlleux d’aborder la question, même avec d’infinies précautions, et l’omerta qui règne à travers le monde sur cette idéologie.
La vérité ne correspond pas toujours aux dires officiels sur l’efficacité et l’innocuité des vaccins et que cette politique de mensonge et propagande, toujours à l’honneur, a débuté dès les premières vaccinations.
...les maladies infectieuses de l’enfance aident à forger le système immunitaire et à installer une immunité durable. Chaque maladie infantile possède une spécificité par rapport à l’organisme et ensemble, les maladies de l’enfance forgent les défenses immunitaires afin de mieux protéger l’organisme de l’adulte..