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Critique de lebelier
Biographie très condensée de François Truffaut, son enfance, élevé d'abord par sa tante puis replacé chez son père adoptif et sa mère, le rythme des films et des rencontres féminines ouvrent des flashbacks de la conversation qu'il a avec son ami d'enfance, Robert Lachenay.
Transparaît bien sûr sa passion du cinéma (il n'imagine pas une vie sans lui) dès lors que le petit garçon qui voit "Paradis Perdu" de Fernand Gravey en ressort en larmes, pleurant devant tant de beauté. Dans ce roman graphique, c'est le combat de Truffaut pour la liberté artistique, sa défense et son militantisme pour "la Nouvelle Vague" où l'on croise Godart, Chabrol, Jacques Rivette et puis bien sûr Hitchcock dont il publiera les entretiens qu'il eut avec son maître.
C'est un garçon tout aussi passionné de lecture qui sèche les cours pour lire "les Trois Mousquetaires", puis l'homme qui aimait les femmes, souvent ses actrices(Deneuve, Jade, Pisier et bien sûr, la dernière, Fanny Ardant.)
Un roman biographique à confier à ceux qui connaissent déjà bien Truffaut et ses films car il y a pas mal de clins d'oeil dans les dessins. le rythme de l'ouvrage est mené tambour-battant sans trop s'arrêter sur les films qui défilent comme des comètes.
Transparaît bien sûr sa passion du cinéma (il n'imagine pas une vie sans lui) dès lors que le petit garçon qui voit "Paradis Perdu" de Fernand Gravey en ressort en larmes, pleurant devant tant de beauté. Dans ce roman graphique, c'est le combat de Truffaut pour la liberté artistique, sa défense et son militantisme pour "la Nouvelle Vague" où l'on croise Godart, Chabrol, Jacques Rivette et puis bien sûr Hitchcock dont il publiera les entretiens qu'il eut avec son maître.
C'est un garçon tout aussi passionné de lecture qui sèche les cours pour lire "les Trois Mousquetaires", puis l'homme qui aimait les femmes, souvent ses actrices(Deneuve, Jade, Pisier et bien sûr, la dernière, Fanny Ardant.)
Un roman biographique à confier à ceux qui connaissent déjà bien Truffaut et ses films car il y a pas mal de clins d'oeil dans les dessins. le rythme de l'ouvrage est mené tambour-battant sans trop s'arrêter sur les films qui défilent comme des comètes.
