Mon corps était déshydraté tellement je mouillais en sa présence.
Il a tenu sa promesse et m’a baisée de la façon qu’il avait décrite. Je me suis débattue férocement, mais il m’a ligotée avec des cordes blessantes et il a enfoncé sa queue en moi. Il m’a fait mal. Je ne pouvais que rester allongée et subir. Je me sentais dégoûtée. Sale. J’avais envie de pleurer, mais je me suis retenue. Je refusais de lui donner cette satisfaction. Il ne méritait pas mes cris ni mes larmes. Il voulait me briser parce qu’il savait que ce ne serait pas facile. Mais je ne céderais pas.
La vengeance était un marathon, non un sprint. Elle exigeait du temps et de l'organisation. Il fallait une patience inflexible. La vengeance se devait d'être parfaite.
Le chemin qui mène au pouvoir absolu n’est pas une route facile. Mais quand tu parviens au but, le monde s’incline devant toi.
– Parfois nous sommes l’insecte. Parfois nous sommes le pare-brise.
Le chemin qui mène au pouvoir absolu n’est pas une route facile. Mais quand tu parviens au but, le monde s’incline devant toi.
La nuit avait passé, mais les ténèbres étaient toujours là.
C'est une question de domination. De force. Seuls les gens forts peuvent voir le bien dans le mal. Quand on trouve du plaisir dans la douleur, on devient plus fort. Plus puissant.
Tout le monde servait ses propres intérêts. Tout le monde était égoïste. Tout le monde était prêt à faire du mal aux autres pour parvenir à ses fins.
Le pouvoir est un état d'esprit. Le pouvoir est la capacité de contrôler les gens. C'est un sommet duquel on ne peut jamais redescendre. C'est une médaille qu'on doit constamment gagner. C'est un titre dont on ne peut être dépouillé.