Quelles sensations !
Le vent brossait mon visage alors que je fonçais sur la piste. C'était génial de se retrouver seul. Personne pour se moquer de moi, personne à décevoir, sinon moi.
Si le cœur n'hésite pas, la main n'hésite pas.
« La forêt est un juge sévère. Elle donne à chacun ce qu’il mérite. Nous devons savoir l’écouter, et nous battre bec et ongles pour notre proie. A présent, tout était clair. J’étais censé le secourir. C’était ça mon épreuve. Je n’étais pas venu dans la forêt pour tuer, j’étais venu pour sauver. » page 174
Un garçon va pénétrer la nature sauvage, et c’est un homme qui en ressortira.