Le jeu de la mort, tome 1

Mikoto est une lycéenne qui souffre d'une déception amoureuse. Un jour, elle se rend sur le toit de son établissement dans le but de se suicider mais c'est là que Jin, un professeur de physique, la convainc de ne pas le faire. Il lui propose alors de devenir son nouveau petit ami…

Le titre et la couverture m'ont d'abord attirée et j'avais envie de varier mes lectures en me procurant un Shojo. J'ai été quelque peu surprise par ma lecture. Ce manga ne ressemble pas du tout ni à ce que j'ai déjà pu lire ni à ce que je m'attendais. D'abord, malgré les sujets parfois profonds, de nombreux quiproquos viennent alléger la lecture avec beaucoup d'humour. A de nombreuses reprises, la mangaka semble sortir des dialogues habituels pour s'adresser directement à nous avec, à nouveau, des petites touches d'humour. Je ne sais pas si ça m'a tant gênée que ça mais je n'y suis pas habituée… J'ai apprécié le fait qu'on en apprenne davantage sur la vie de Jin et qu'on comprenne mieux la raison de son intervention lorsque Mikoto voulait sauter du toit… Bref, je ne suis pas convaincue par ma lecture mais je vais lui laisser une chance et je me procurerai le deuxième tome !
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J'ai acheté les deux premier tomes du shojo "le jeu de la mort" de Sora en pensant qu'il pourrait me plaire. Les illustrations sont jolies, l'humour présent, l'histoire est originale avec deux personnages conscients de se trouver dans un manga. Pourtant... ce huis clos dialogique entre un jeune enseignant peu autoritaire et une lycéenne suicidaire, tous deux pratiquement seuls pendant 190 pages, m'a assez souvent lassée. Ils discutent beaucoup, mais il manque un décor, une véritable toile de fond. Les autres personnages sont rabaissés au rang de figurants. Les deux protagonistes n'ont pas de famille et s'appellent le plus souvent "professeur" et "lycéenne" : il a peur qu'elle se suicide. Il est attiré par les baisers indirects (thème qui revient souvent dans ce manga : manger après la jeune fille, boire par son intermédiaire...). Bien que tous deux soient à certains moments touchants et que certains gags fassent sourire, il y a une sorte de désinvolture de la part de la mangaka, des répétitions et l'impression que sur le thème de l'amour auquel donner une chance pour retrouver sa joie de vivre, seules quelques pistes sont pour l'instant effleurées.

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Un peu déçue par ce premier tome. Depuis le temps qu'il me tentait, je reste sceptique.

J'espérais le thème du suicide plus prégnant, plus réaliste. Mais déjà, vouloir en finir pour une peine de coeur m'a un peu gênée. de plus, je trouve le personnage de Haiba loin d'être charismatique.

Toutefois, je sais que les premiers tomes sont souvent la mise en place de l'univers. Je laisserai donc une chance à cette série, peut être que la suite me convaincra davantage.