Mais la vie ne s'intéresse pas à votre humeur ou si votre monde est en train de s'effondrer. Elle ne demande jamais et vous devez la surmonter, prêt ou pas.
Le premier amour est toujours celui qu'on vit le plus, le plus dur à digérer quand c'est fini, et le plus dur à oublier.
Chapitre 2 :
DALLAS
Aujourd'hui
« … Je clignai plusieurs fois des yeux, tout comme lui avant que nous nous figions tous deux sur place.
Impossible.
— Dallas
La pièce semblait avoir rétréci et j’eus soudainement besoin d’air. Mais il n’y en avait pas. Un millier d’émotions me traversaient alors que je faisais mes salutations habituelles.
— Dean ! Dean Martin !...»
Prologue :
« … Mais c’étaient pas vraiment des mots de mon père dont j’avais besoin. C’étaient ses mots à elle que j’avais besoin de croire.
« Je t’aime toujours.»
C’était elle, cela avait toujours été elle, cela serait toujours elle.
Tu ne peux pas y retourner, Dean.
Les heures passèrent tandis que je restais assis à me geler dans le parc, accueillant le froid sur mes membres sans vie pour m’endolorir. J’avais le monde que j’avais toujours voulu.
Le monde pour lequel j’avais travaillé comme un acharné. Tout était là. La carrière dont j’avais toujours rêvé m’attendait à quelques pâtés de maisons, et pourtant je ne pouvais pas y retourner. Je ne pouvais pas m’enlever de la tête que ça ne rimait ça rien.
C’était vide. Ce n’était rien...»