Arthur doit à sa mère la conviction que tout est possible à force de volonté, que les causes perdues méritent un chevalier pour les défendre. Dans sa famille, c’est sa mère qui joue le rôle du chevalier : il n’ignore pas que seules son ingéniosité et sa ténacité leur ont épargné la vraie misère qui fait rage dans les taudis de l’Écosse industrielle.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.