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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce livre est parfait si vous souhaitez en savoir plus sur les techniques de peinture à la Renaissance. de plus, l'heroine est tres attachante, téméraire et parfois un peu effrontée tout en gardant une pudeur caractéristique des filles de cette epoque. On en apprend aussi plus sur la vie des soeurs au couvent ainsi que des novices; les soeurs venant de milieux plus fortunées ou nobles etant privilégiées par rapport aux autres. J'ai cependant etait très déçue par la fin, peu commune dans ce genre de roman et relativement originale mais pas celle que j'espérais.
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L'auteur a écrit un livre bien documenté, où, au-delà de la fiction, on en apprend beaucoup sur la vie des novices dans un couvent du XVème siècle et sur la manière dont la peinture est faite à cette époque. Beaucoup de termes techniques, que ce soit des termes de couvent ou des termes de peinture, sont assortis d'un petit astérisque et on peut en découvrir une définition détaillée dans le glossaire à la fin du roman. Petit bémol sur le fait de devoir faire des allers-retours entre ce glossaire et le texte, j'aurais préféré que les explications soit en note de bas de page, ça aurait été plus simple pour le lecteur (et rien n'empêchait de faire aussi le glossaire pour tout réunir).

Giulia est la fille illégitime d'un comte, qui, s'il a toujours donné un toit à sa fille, malgré la mort de sa maîtresse 10 ans plus tôt, n'a jamais pris la peine de la reconnaître. A sa mort, il laisse un testament dans lequel il lègue une somme d'argent à la jeune fille, somme d'argent qui doit, stipule-t-il servir de dot pour qu'elle se marie.
Mais la femme du comte, exécuteur testamentaire de son défunt mari, voit là sa revanche pour l'humiliation d'avoir eu la bâtarde de son mari employée sous son toit.
Puisque le désir de son mari était que Giulia soit mariée, et qu'elle se doute que c'est là également le désir de la jeune fille, elle va la marier, oui, mais à Jésus Christ, et l'expédier finir ses jours dans un couvent auquel elle versera sa dot pour son entrée en religion.
Le monde de Giulia s'effondre, elle qui rêve d'un mari, d'enfants et d'un foyer bien à elle, la voilà novice dans un couvent.
Cela dit, quand on voit les règles du couvent, on se dit qu'il y a pire dans le genre. Ici les religieuses n'ont pas à se lever la nuit pour les prières comme dans d'autres cloîtres, les repas sont abondants, bref, c'est un couvent où la vie est moins dure qu'ailleurs, d'autant que la mère supérieure, bien qu'elle ne puisse rien faire contre cela, est révoltée par toutes ces familles qui enferment les filles dont ils ne veulent pas s'occuper.
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J'ai pas vraiment aimé ce livre... Je trouve qu'il y a trop de ''fantaisie" et de "croyances" il y a trop de fiction à mon goût mais bon, le reste était pas si mal que ça. On suit bien l'héroïne pendant l'histoire, on comprends bien l'histoire. Mais je trouve qu'il n'y a pas de suspense, et pas vraiment d'aventure.
Je conseilles néanmoins ce livre pour ceux qui aiment les histoires sans beaucoup de suspense, et ceux qui aiment la peinture et souhaitent découvrir le 15e siècle, l'ambiance d'un couvent, et ceux qui veulent en savoir plus sur les croyances des personnes du 15e siècle.
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Parce que bâtarde bien que fille de comte , Giulia est contrainte d'entrer au couvent. Contrairement à ses craintes, elle va y découvrir un monde insoupçonné où les femmes y ont des libertés qu'elles n'ont pas dans la vie civile. Elle va notamment pourvoir y apprendre le fabuleux métier de peintre normalement réservé aux hommes.
une étonnante plongée dans la Renaissance italienne et le monde des peintres à travers la vie monastique. Quelques longueurs dans le récit
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Il y a des moments où je bloque sur des périodes précises. Je ne sais pas pourquoi ... (je dois être un peu siphonnée). En ce moment donc, je suis dans mon trip Renaissance italienne. Bon, pour être honnête ça a aussi été un jeu de circonstance. Nous avons commencé le visionnage de la série "Borgia" au moment où j'ai attaqué la lecture de "Bleu passion" et les dates ont fait tilt dans ma tête. Mais les deux histoires n'ont absolument rien à voir ...

Milan, Italie, 1487. Giulia, 17 ans, va passer le reste de sa vie au couvent de Sainte Marta. Une chose impossible pour elle, qui voudrait un mari et un foyer. La jeune fille trouve de l'aide auprès d'un sorcier, qui lui confectionne un talisman magique : avant l'hiver, son désir le plus cher aura été accompli. Elle entre au couvent, persuadée qu'un miracle se produira. Soeur Humilità, qui y enseigne le dessin et la peinture, décèle le talent de Giulia et lui offre une place dans son atelier. Cet endroit merveilleux où l'on fabrique en secret la couleur tant convoitée du bleu passion. Et si le destin de Giulia c'était la peinture ...?

Nous faisons donc la connaissance de Giulia, fille bâtarde d'un comte milanais et d'une couturière. A la mort de son père, Giulia est mise à la porte du palais dans lequel elle a toujours vécu par la comtesse qui souhaite que la jeune fille rentre au couvent de Sainte Marta. Mais Giulia ne souhaite pas cette vie là, elle aspire à se marier et à fonder une famille.

Giulia est un personnage très attachant, forcément il lui arrive tellement de trucs moches qu'il est difficile de ne pas l'apprécier. L'histoire quant à elle est plutôt linéaire et banale. Sans surprise, Giulia tombe sous le charme d'un beau garçon ... Elle est très mignone cette petite novice mais on a parfois une forte envie de lui coller des baffes tellement elle fait preuve de naïveté !! Elle tombe dans le piège tendu que nous, lecteur, avons reniflé à 15 kilomètres !

Sinon c'est un bouquin très intéréssant, il nous permet de découvrir un peu la vie au couvent mais surtout la vie dans cet atelier de peinture. J'ai beaucoup aimé Soeur Humilità qui est la maestra de l'atelier. Elle est compréhensive, intéréssante, pleine de surprise. A part ça, le livre est bien écrit mais (oui car bien entendu il y a un mais ...) il manque cruellement de rythme. On s'ennuie, c'est très lent. Au début, je me suis dit que c'était peut-être pour respecter le rythme de la vie monacale mais en fait non ... C'est dommage parce que cette histoire est très chouette ...
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