J'aimerais tant qu'on rie de nouveau tous ensemble dans cette maison.
C'est pour ça que même si mes parents étaient morts et qu'on était tous séparés...
même si c'était dur d'aller à l'école tout en devant travailler...
Je n'aurais abandonné cette maison pour rien au monde.
- La petite fille de la maison d'en face est bizarre. Elle mange toute seule au temple.
- La prochaine fois que tu la vois, invite-là à la maison.
- D'accord!
J'ai rencontré Mao juste après le déménagement. Je l'ai invitée!
"une petite fille qui se retient de pleurer". Voilà la première impression qu'elle m'a laissée.
- Je m'appelle Mao, ça s'écrit avec les caractères de la vérité et du poisson.
- Mayo ?
- Mao !
- Pourquoi tu manges au temple ?
- Parce qu'il y a dieu là-bas. J'y vais pour qu'il ne se sente pas seul.
- Hein ? et tes parents ?
- Ils travaillent dur pour moi, alors ils ne rentrent pas souvent. Ils sont admirables.
- A table !
- Hein ?
- Tu viens manger, Mao ?
- Euh, qu..pourquoi ?
- Comment ça, pourquoi ?
- Parce que c'est bon !
Après ça, c'est comme si Mao s'était installée chez nous. Et elle a fini par devenir comme un membre de la famille.
Une place rien que pour moi !
Ta présence suffit à créer une atmosphère chaleureuse, c'est pour ça que j'aime rentrer à la maison.
« À l'époque, cet endroit était une maison remplie de magie – un endroit où vous finissiez par sourire, même si vous pleuriez. Assurément, un invisible sorcier devait avoir vécu ici. C'est ce que je pensais. » - Mao
[traduction perso]
Hiro *Pouvoir s'inquiéter pour quelqu'un... Ça a quelque chose d'agréable.*
Ta présence suffit à créer une atmosphère chaleureuse. Tu vois ce que je veux dire, pas vrai ? C'est pour ça que j'aime rentrer à la maison.
Je suis contente... d'être obligée de rentrer à 19Heures dans cette maison !
Je n'avais pas autant ri depuis longtemps. J'en avais les larmes aux yeux. Et je me suis étonnamment régalée !
Hiro *Ce jour-là, en pleine nuit... Mao est retournée chez son père avec un gros sac. Les choses se sont passées si naturellement que j'ai eu l'impression que c'était ma petite sœur qui rentrait vraiment à la maison. Son père m'a donné une enveloppe en disant "C'est pour ce mois-ci" et on est partis. J'avais même perdu l'envie de m'énerver.*
Hiro : Bienvenue chez toi, Mayo.
Mao : C'est "Mao" ! Je suis à la maison.