Prix Pulitzer 2014 ! Je voulais le lire.
Après 800 pages, comment je suis….. Mal à l'aise.
Je ne sais pas quoi en dire de ce pavé. Impossible de le lâcher. La fin du roman m'a travaillé. J'en ai même rêvé toute la nuit.
Que peut-on dire de Théo ? On le comprend ou pas ? Une mauvaise action et son destin s'est transformé en chaos.
Qui n'a pas été mal à l'aise avec cette ambiance glauque. Pendant 800 pages on se demande où veut en venir l'auteure ? Elle installe Théo dans notre vie et on le voit faiblir chaque jour.
La question phare : Pourquoi Théo se retrouve-t-il dans une chambre d'hôtel à Amsterdam ? Et quel est le rapport avec la mort de sa mère ? Et quel est le lien entre
le chardonneret et lui ?
Et bien il a fallu 800 pages pour avoir la réponse. Mais je reste sceptique et mal à l'aise. Autant Théo m'a touché, attristé. Ses choix, ses abondons, cette non-assistance, c'est de la folie. Ce parcours plus que chaotique. Et tout le long, je me demandais où voulait en venir
Donna Tartt.
Encore maintenant je suis perplexe. Quel est le genre littéraire de ce roman ?
J'ai beaucoup de questions et pourtant il ne m'a pas laissée indifférente. Un roman parfait pour un club de lecture.
Alors c'est la note indécise, bateau. Incapable de dire j'ai aimé ou pas. Pourtant il a fait son petit effet… A en discuter avec d'autres lecteurs.
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