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Citations sur Agent Kovacs : Portée disparue (15)

Je viens de terminer un livre que je trouve très bon. Il se nomme « Portée Disparue » de Caroline Terrée. Caroline Terrée nous embarque dans une enquête dans un livre de 200 pages. C’est un roman policier qui s’adresse surtout aux adolescents. Il manque peut de suspense, mais le livre reste bien pour le groupe d’âge à qui il s’adresse.

Dans le stationnement près d’une forêt, une jeune fille disparait. C’est Rachel Cross, 24 ans, étudiante et la fille unique d’un sénateur américain. La journée de ça disparition, Rachel s’est disputé avec son petit ami Mike. Mike est un jeune qui se drogue et qui travail dans un garage. L’équipe du CSU dirigé par Kate Kovacs feront une enquête sur cette disparition. Est-ce que Rachel s’est enfuie, suicidée ou enlevée? Il y a trois suspects : Mike le petit ami de Rachel, un garde forestier qui à donné l’alerte de Rachel et un ancien des Delta Force, un groupe de soldats élites, qui avait les clés d’auto de Rachel.

L’univers que Caroline Terrée a créé avec ses personnages est vraiment intriguant. Chaque personnages ont leurs caractères, on s’attache assez bien à eux et ils nous permettent d’embarquer pleinement dans le livre. L’auteure à une façon de décrire l’univers et le suspense qui est propre à elle. Sa façon d’écrire qui nous insiste à le lire d’une traite le roman. Malgré le magnifique suspense et la façon de décrire l’univers, qui nous insiste à lire ce roman jusqu’à la fin, livre reste très prévisible. Nous savons quel seras l’action que l’équipe de Kate fera et nous savons se que ferons les personnages secondaires.

Caroline Terrée est une auteure très aimée des jeunes. La série CSU a gagné le prix « Cœur Noire Jeunesse 2008 ». Chacun de ses livres de cette série ont reçues des prix.
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Je suis d'accord avec purplehaze117. Ce livre ma empeché de dormir et j'ai fait plein de cauchemards
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Bon livre
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Je sors de la douche et je commence à me sécher les cheveux d'une main tout en me brossant les dents de l'autre. Une habitude aussi ancrée dans mon quotidien que celle de cuisiner en parlant au téléphone ou de travailler en écoutant de la musique. Une habitude qui faisait mourir de rire Aidan. Surtout quand j'étais crevée et que les choses avaient tendance à déraper…
Je me regarde dans la glace, incrédule, en me maudissant intérieurement d'avoir osé penser à lui dans un moment pareil. Puis j'enfile un jean et un T-shirt gris en essayant de chasser l'image de son visage souriant de mon esprit.
Sans succès.
Furax d'avoir laissé mes réactions physiques prendre le dessus aussi facilement, j'attrape le reste de mes affaires et je sors de la salle de bains étouffante de vapeur pour passer dans le salon. Une pièce neutre, spacieuse, dans laquelle il n'y a pas la moindre trace de notre vie commune. Et, immédiatement, je sens mon corps se détendre au contact des différents éléments qui m'entourent.
La texture du plancher qui crisse sous mes pieds nus… Les reproductions de Mirò qui se découpent sur les murs blancs… Les feuilles du yucca qui s'élancent presque à la verticale vers le plafond…
Toujours contrariée, je m'assois sur le rebord du sofa et j'enfile une paire de chaussures à crampons en regardant le décor qui s'étend derrière la baie vitrée. Terrasse en bois entourée de sapins. Marine Drive juste en dessous – la longue route qui serpente le long du front de mer de West Vancouver. Avec en toile de fond, les eaux du Pacifique qui s'étendent jusqu'à la ligne d'horizon.
Un paysage qui dégage une sensation de calme absolu, de jour comme de nuit, et devant lequel j'ai passé des centaines d'heures assise. Absorbant sa tranquillité comme on déguste une tasse de café brûlant. Rassurée par son existence même. Par l'idée que certaines choses sont immuables, indestructibles. Comme la silhouette des montagnes du North Shore qui n'ont pas changé depuis l'ère glaciaire.
J'attache mes lacets et je me dirige vers la pièce du fond qui me sert de bureau en imaginant déjà la scène qui m'attend sur le parking du Lighthouse Park. Une forêt à moins de dix minutes d'ici qui faisait jusqu'à ce matin partie de mon univers « privé ». Un endroit qui est probablement maintenant grouillant de voitures de police et de questions sans réponses.
Je sors le Beretta 9 mm de son coffre et je le glisse dans son holster. Puis je vérifie le contenu du sac de sport posé à mes pieds – gilet pare-balles, menottes, coupe-vent, talkie-walkie, torche électrique, tenue de rechange, dictaphone, appareil photo numérique – et alors que je le passe sur l'épaule, je commets ma seconde erreur en moins de cinq minutes.
Je me retourne.
Et le mur de gauche me renvoie froidement les images qui peuplent mes cauchemars depuis des années. Des images que j'ai moi-même dessinées à la main et épinglées au milieu de pages de texte et de photos du FBI classées top secret.
Un mur auquel je ne fais d'habitude même plus attention mais qui ce matin, m'aide à me reconcentrer sur une seule et unique chose : l'enquête qui m'attend.
Retrouver à tout prix la jeune femme portée disparue. Afin que son visage ne finisse jamais sur un mur similaire.

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Sur le papier, je travaille pour le FBI. Agent Kovacs (prononcer Kovatch), 35 ans, spécialisée en criminologie et victimologie – ou comme les Anglo-Saxons l'appellent, le profiling, une technique d'analyse de données scientifiques et humaines qui permet de mieux cerner la personnalité de personnes impliquées dans des affaires criminelles.
Sur le terrain, je dirige depuis six ans le CSU - Crime Support Unit -, une unité d'élite basée à Vancouver, rattachée au Bureau, dont le but est d'épauler les forces de police locales dans leurs enquêtes les plus difficiles. Une unité qui comprend trois détectives du Vancouver Police Department que j'ai moi-même recrutés :
Nick Ballard, 39 ans, un officier au physique d'athlète qui a fait partie pendant près de dix ans d'un groupe d'intervention rapide de la GRC1.
Connie Chang, 32 ans, originaire de Hong-Kong.
Première de sa promo en médecine légale. Une experte dans la collecte et l'analyse d'indices matériels.
Keefe Green, 28 ans, petit génie en informatique. Capable de travailler 24 heures d'affilée sur le terrain ou devant l'écran d'un ordinateur.
Ensemble, nous travaillons en étroite collaboration avec les officiers du VPD2 qui couvrent la ville et ses environs – et grâce à un accord entre le FBI et les forces de police locales, nous pouvons être déployés à tout moment sur le terrain et gérer différents types d'enquêtes de façon autonome. Un accord qui nous permet d'opérer dans des conditions optimales, mais qui me rend aussi, de par sa nature même, officiellement responsable des résultats de mon équipe. Quelque chose qui ne fait qu'augmenter la tension que je ressens toujours au début d'une nouvelle enquête. Comme en ce moment précis.
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Cela fait plus de six ans que je vis à Vancouver et que je fais du jogging tous les samedis matins autour de Stanley Park – et pas une seule fois ce moment-là n'a manqué de m'emplir d'une sensation de bonheur profond, diffus… Une sensation physique basée sur une impression irrationnelle de ne faire plus qu'un avec son environnement, de pouvoir soudain apprécier le moindre détail avec une intensité quasi spirituelle.
Je me redresse pour obliger l'oxygène à circuler plus librement à travers mon corps et je reste immobile un long moment, à observer le paysage changer imperceptiblement sous mes yeux…
Je commence par suivre du regard les petits nuages d'humidité que la forêt relâche… Glissant le long des cimes avant de disparaître, comme par magie, dans le bleu du ciel. Comme de mystérieux signaux de fumée indiens, comme si la forêt avait du mal à se réveiller et qu'elle s'étirait lentement… En bâillant.
Puis je passe à la baie de Vancouver qui s'étend devant moi sur des kilomètres et des kilomètres…
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ce livre est flippant. je n'ai pas dormi pendant une semaine. il est fantastique. ben non ce n'est meme pas vrai c'est nul. depuis le début on sais qui est le coupable...
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Se livre ma foutu la trouille je nai pas pu dormir pendant 2 mois :O !!! tres deconseiller :S !!!
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Je m'arrête pour reprendre mon souffle, le T-shirt collant de transpiration sous le coupe-vent que je porte toujours pour faire du jogging tôt le matin. Je pose les mains à plat au-dessus des genoux et je me penche légèrement vers l'avant – les poumons brûlants, les veines du cou gonflées par les battements rapides de mon cœur. Puis je ferme les yeux et je me concentre à fond sur ma respiration…
Sans problème, je peux visualiser les valves de mon cœur qui s'ouvrent et se referment comme les ouïes d'un poisson hors de l'eau… Mes poumons qui luttent pour essayer de trouver à chaque inspiration un peu plus d'espace… Les gouttes de transpiration qui se forment au-dessus de mes sourcils et qui coulent le long de mon visage, lentement, en me faisant frissonner dans l'air glacé du matin.
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