Jean demeurait planté, gauche, de grosses larmes lui roulant sur les joues, qu’Élodie, dans son délire paroxystique, prit pour des larmes de bonheur alors qu'elles n'étaient que de désespoir. On sait que le cerf aux abois se met à pleurer lorsque sonne l'hallali. C'est ce que Jean fit sans retenue, se sentant cerné par les impitoyables prédateurs de son innocence.