Karoo

Le film d'Arthur Houseman, c'était autre chose. C'était un chef d’œuvre. Il faisait appel à ce qu'il y avait de meilleur en moi rien que pour que je puisse l'apprécier à sa juste valeur, et déjà là, je ne me sentais pas vraiment à la hauteur.

C'était cette improbabilité même qui m'inquiétait. Parce que tout était possible.

J'allume une autre cigarette.

Devenir père, engendrer un bébé, paraissait pour le coup une entreprise artistique dont j'étais capable.

Le vote fut unanime : c'est moi qui baisais la plus jeune. Je fus donc déclaré gagnant à l'unanimité de cette soirée.

J'ai bien aimé au début et puis j'ai trouvé que ça patinait ... trop verbeux.
Je ne l'ai pas terminé .

Lorsque quelqu'un vient vous dire au revoir , l'objectif de la visite domine la scène et quoi que l'on puisse dire d'autre ,c'est ce but non dit qui reste le sujet.