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Critique de Maks
Second volet de la saga post-apocalyptique du Cyle Azure, « Polaris : Crépuscule » suit directement les événements du tome 1 « Point Némo ».
On se retrouve à bord du submersible sans nom avec aux commandes le Cap itaine Phébur, qui est un personnage vraiment très bien construit et charismatique, un anti-héro ancien pirate et maintenant à son compte et recherché par la quasi totalité du monde.
Les autres (excellents) personnages tels que Allya (qui peu lire les émotions des gens quand elle est à proximité) ou Victor (le robot hyper intelligent au cerveau humain) sont encore présents, il y a même « Guppy » (le monstre hybride de compagnie ultraviolent me faisant penser à un mix du « Xénomorphe » dans « Alien » et du « Demogorgon » « Stranger things »), je l'avais adoré dans le précédent livre, ici il est tout aussi flippant et attachant à la fois.
Contrairement à « Point Némo » qui se déroulait en vase clos dans un même lieu, on part à l'aventure, de poursuites en recontres au milieu des monstres marins ou encore dans un treck à bord d'exosquelettes ultra-sophistiqués à la surface de la Terre où l'air est vicié et où les mutants et les dangers pullulent.
La fin est explosive, mais je regrette un double événement en toute fin de récit qui m'a laissé la boule au ventre et un brin de tristesse.
Vous remarquerez la superbe couverture de @didier_graffet comme pour « Point Némo ».
À la fin du roman vous trouverez un glossaire très complet ainsi qu'un « Bref historique de l'univers de Polaris ».
La SF française a encore de l'avenir.
À lire absolument !
On se retrouve à bord du submersible sans nom avec aux commandes le Cap itaine Phébur, qui est un personnage vraiment très bien construit et charismatique, un anti-héro ancien pirate et maintenant à son compte et recherché par la quasi totalité du monde.
Les autres (excellents) personnages tels que Allya (qui peu lire les émotions des gens quand elle est à proximité) ou Victor (le robot hyper intelligent au cerveau humain) sont encore présents, il y a même « Guppy » (le monstre hybride de compagnie ultraviolent me faisant penser à un mix du « Xénomorphe » dans « Alien » et du « Demogorgon » « Stranger things »), je l'avais adoré dans le précédent livre, ici il est tout aussi flippant et attachant à la fois.
Contrairement à « Point Némo » qui se déroulait en vase clos dans un même lieu, on part à l'aventure, de poursuites en recontres au milieu des monstres marins ou encore dans un treck à bord d'exosquelettes ultra-sophistiqués à la surface de la Terre où l'air est vicié et où les mutants et les dangers pullulent.
La fin est explosive, mais je regrette un double événement en toute fin de récit qui m'a laissé la boule au ventre et un brin de tristesse.
Vous remarquerez la superbe couverture de @didier_graffet comme pour « Point Némo ».
À la fin du roman vous trouverez un glossaire très complet ainsi qu'un « Bref historique de l'univers de Polaris ».
La SF française a encore de l'avenir.
À lire absolument !
