Un recueil de trois nouvelles d'un auteur à l'imagination débordante dont l'univers me ravit à chaque lecture. Lire du
Pierre Thiry, c'est ouvrir grand les fenêtres, laisser passer l'air frais, retrouver son âme d'enfant. Attention c'est également un technicien hors pair qui maîtrise son art. Trois nouvelles, différentes, mais nées de poèmes. Si la première,
Valse froide est belle et vengeresse sur fond d'hiver et de la symphonie fantastique de Berlioz, la troisième, la plume rebelle, légère et un brin loufoque, ma préférence est pour la deuxième, Lia Métonymie. J'ai pris une sacré bouffée d'oxygène, clouée au fond de mon lit et manquant d'air justement. Quel vol plané !
Merci, encore une fois, pour ce souffle de mots savoureux et cette possibilité de mettre les voiles d'un quotidien chiffonnant. Mention spéciale pour cette note de bas de page succulente.
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