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Critique de bobfutur


Dans sa préface, l'écrivain belge Michel Lambert, en plus de globalement raconter tout le livre (de ces préfaces qu'il faudrait postfacer…), nous inclut ce roman dans ce qu'il appelle « littérature des vaincus », Tisma à coté de Simenon, Tchekhov, Fitzgerald et Bove… Je ne connaissais pas cette engeance, et quelques recherches me font tomber sur… Alain Soral…! Me voilà également vaincu, et pas plus avancé…

Un autre roman sur l'inassouvissement en amour, malheureusement aussi flamboyant qu'une allumette humide. Un narrateur plutôt morne, et de sa vie peuplée de petites déceptions aux grandes conséquences, pour lui qui, quoi qu'il entreprenne, n'est jamais du bon côté de la décision.

Une jeune fille brune, et une jeune fille blonde… pas de tentation d'en faire un symbolisme d'opposition facile… pas de Patricia Arquette dans Lost Highway… simplement une histoire difficile à s'y identifier.

Selon sa culture ou son expérience des rapports entre les sexes, on pourra s'étonner ou s'agacer de certaines considérations… ou de leurs absences… Désolé de ne pas plus développer, mais ce livre n'en vaut selon moins pas la peine, malgré une écriture agréable…
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