Ces charmants petits contes philosophiques font un certain plaisir à l'esprit ; en effet, les géniaux le Réveillon du Jeune Tsar et
Ainsi meurt l'Amour, portent une patte si agréable et si particulière que l'on ne peut ignorer le génie de Tolstoï, dans son art de la prose. Jusque-là, tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Mais après ? La lecture des histoires un peu simplettes, qui ne permettent plus de se rendre compte de la maîtrise tolstoïenne de l'art de la prose, Les Mémoires d'un Fou et Une âme simple, sont décevantes ; l'élégance et l'esprit du maître russe y sont moins prégnantes.
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