La vengeance futile n'a pas sa place à l'ONI. Nous nous vengeons uniquement pour des motifs pragmatiques. La vengeance peut procurer une sensation agréable mais, si elle ne produit aucun résultat durable, autant prendre une bonne tasse de moka.
Un dieu qui crée des outils n'en demeure pas moins un dieu. Il ne nous appartient pas d'émettre des réserves sur le divin, ni de chercher à comprendre ses intentions.
Quand on est du côté des vainqueurs, personne ne parle de ce genre de choses avant qu'on soit mort. Du côté des perdants, on finit à Nuremberg.
A force de travailler dans les égouts, on n'en sent plus l'odeur. A moins d'en sortir.
Ce ne sont pas les intentions de l'ennemi qu'il faut prendre en compte, mais ses capacités.
Quel est le meilleur moment pour frapper un homme ?
Quand il est à terre. Et de préférence dans les parties. Aussi fort que possible.
Les héros ne meurent jamais, pas plus que leurs idéaux imparfaits. En plus de les tuer, il faut donc les discréditer.