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Critique de Phoenicia
Un régal! Entreprise en LC avec Tinaju, j'ai retrouvé l'engouement que je sentais disparaître dans les derniers tomes. L'auteur ne se perd pas dans plusieurs enquêtes mais bien dans une seule enquête. Un pur plaisir.
C'est l'heure de confirmer les liens matrimoniaux pour Eadulf et Fidelma. le haut monde est invité à Cashel. Des invités surprises également puisque l'émissaire du comarb de Patrick est venu dénoncer le mariage de Fidelma. En tant que religieux respectifs, le célibat devrait s'imposer. Or, voilà qu'il décède. le personnage était arrogant. On découvre qu'il est bien plus que cela et surtout loin d'être exempt de péchés, grand moralisateur qu'il soit.
Alors effectivement ce tome reprend des thèmes abordés encore et encore : le célibat, les Pénitentiels face aux Fénéchus, la primauté en discussion du comarb de Patrick sur celui d'Ailbe, la place de la femme, etc.
A travers une enquête rondement menée dans laquelle on ne s'ennuie pas un instant, on entrevoit ce pays moderne de l'Irlande médiévale qui a su adapter un christianisme à ses coutumes celtes et en cela nous offre une vision beaucoup plus belle. le christianisme me semble avoir beaucoup perdu en comparaison.
La relation personnelle de Fidelma et d'Eadulf continue à prospérer. Alors bien sûr j'en ai pris mon parti, Eadulf n'est pas destiné à un rôle plus brillant. Après tout, pourquoi pas? Peter Tremayne veut une héroïne qui contraste dans une société médiéviste patriarcale, un choix honorable. de plus, il semble poser les premiers jalons d'une évolution du personnage qui me semblait couru d'avance et me paraît plus légitime, plus en adéquation avec le personnage.
Bref, un tome qui remplit plein de promesses et en apporte d'autres. Vivement le prochain tome!
Challenge Trivial Reading VII
Challenge A travers l'histoire 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
Challenge Cluedo littéraire III
Challenge Séries 2020
C'est l'heure de confirmer les liens matrimoniaux pour Eadulf et Fidelma. le haut monde est invité à Cashel. Des invités surprises également puisque l'émissaire du comarb de Patrick est venu dénoncer le mariage de Fidelma. En tant que religieux respectifs, le célibat devrait s'imposer. Or, voilà qu'il décède. le personnage était arrogant. On découvre qu'il est bien plus que cela et surtout loin d'être exempt de péchés, grand moralisateur qu'il soit.
Alors effectivement ce tome reprend des thèmes abordés encore et encore : le célibat, les Pénitentiels face aux Fénéchus, la primauté en discussion du comarb de Patrick sur celui d'Ailbe, la place de la femme, etc.
A travers une enquête rondement menée dans laquelle on ne s'ennuie pas un instant, on entrevoit ce pays moderne de l'Irlande médiévale qui a su adapter un christianisme à ses coutumes celtes et en cela nous offre une vision beaucoup plus belle. le christianisme me semble avoir beaucoup perdu en comparaison.
La relation personnelle de Fidelma et d'Eadulf continue à prospérer. Alors bien sûr j'en ai pris mon parti, Eadulf n'est pas destiné à un rôle plus brillant. Après tout, pourquoi pas? Peter Tremayne veut une héroïne qui contraste dans une société médiéviste patriarcale, un choix honorable. de plus, il semble poser les premiers jalons d'une évolution du personnage qui me semblait couru d'avance et me paraît plus légitime, plus en adéquation avec le personnage.
Bref, un tome qui remplit plein de promesses et en apporte d'autres. Vivement le prochain tome!
Challenge Trivial Reading VII
Challenge A travers l'histoire 2020
Challenge Mauvais Genres 2020
Challenge Cluedo littéraire III
Challenge Séries 2020
