Il mit deux heures à finir le livre, parcourant de ses yeux chaque feuille, de gauche à droite, de ligne en ligne imaginaire, la peau parfois parcourue de frissons, à d’autres moments émus, en un merveilleux acte de rêverie et de liberté.
Quand il eut fini la dernière page, il retourna à la première et les fit toutes défiler rapidement.
Elles étaient vierges. Absolument vierges.
Il se sentit épuisé. Mais aussi libéré.