Vincent a réussi dans la vie. du moins en apparence. Il a un métier qui rapporte. Une très belle femme. Mais ce n'est que de la façade. Ils divorcent. Elle trace dans la vie. Lui, il est à un moment de doute. L'arrivée d'un ancien pote va faire remonter plein de choses à la surface.
Le foot 20 ans auparavant. La fille de l'entraîneur, un amour de jeunesse. Hélas, le pote se révèle menteur pathologique, à un point tel que la vie de Vincent va peu à peu glisser dans le surréalisme total. Un peu à la manière de
Tom Sharpe dans ses romans sur
Wilt. Quand on pense avoir touché le fond, eh bien, on s'enfonce encore dans les ennuis. Cela pourrait être sympa.
Hélas, je n'ai pas du tout accroché au récit, ni à la manière de le raconter, ni au dessin. Qu'un sujet assez sérieux soit traité à la manière du Grand Guignol, pourquoi pas? Mais cela manque de cohérence et de tension. Trop, too much, en ce qui me concerne.
Commenter  J’apprécie         60