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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
☼ Mon avis ☼


We Never Learn est un Shonen réalisé par Taishi Tsutsui aux éditions Kazé.
Ce titre touche la comédie et la romance, les dessins ressemblent fortement à la série Nisekoi et c'est bien normal puisque l'auteur est également l'assistant de Naoshi Komi, qui est le réalisateur de la saga de ce dernier.
La couverture représente trois jeunes étudiantes qui malheureusement spoil toute l'intrigue, on comprend très vite que la troisième arrivera au cours du tome.
La jaquette pourrait nous faire croire qu'on a entre les mains un pure Shôjo qui ne révolutionne pas le genre, pourtant ce titre est considéré comme un shonen par l'auteur.
We never learn est un manga qui tourne dans le sentimental avec de nombreuses scènes sous-entendues qui tournent un peu dans la perversité.
Il y a quelques séquences très drôles, ce titre apporte une ambiance positive grâce à certaines filles qui sont très joyeuses.
Elles sont vivantes et aspirent la fraîcheur, parfois on a du mal à les cerner ce qui est très intrigant.
J'ai bien aimé les différentes techniques que le héros principal explique à ces filles pour leur faire apprendre les cours, c'est d'ailleurs l'un des points forts de ce premier tome.
Ce premier ouvrage est rempli de dialogues et tant mieux, tout est très bien expliqué sans alourdir les cases.
Les dessins restent sympathiques mais ne m'ont pas tant attiré, ça reste des graphiques très girly avec des filles aux gros yeux, un coup de crayon trop porté sur l'univers du shôjo.
J'ai trouvé cette lecture sympa mais elle manque de profondeur, l'histoire avance trop vite et l'auteur rajoute déjà un troisième personnage, il aurait été préférable de l'insérer au bout du deuxième tome voire à partir du troisième.
Tout s'enchaîne au point qu'on se demande ce qui va se passer par la suite.
J'ai peur que cette série reste dans la routine et qu'elle n'évolue pas avec le temps.
Quand on voit que chaque situation tourne dans des plans un peu coquins, j'ai bien peur que ce manga se termine en harem.
Les personnages sont attachants mais elles restent très stéréotypées, on retrouve une fille du nom de Rizu qui a une personnalité très froide au premier abord, une autre du nom de Fumino qui est plutôt douce et la dernière qui transmet beaucoup d'énergie.
J'ai bien aimé avoir également la vision des filles, ce livre ne s'attarde pas que sur les actions de notre héros et c'est très intéressant.
Je suis également très satisfaite des décors qui sont tout le temps présent.
Pour finir, j'ai hâte de voir ce que nous propose l'auteur dans le deuxième tome.

En conclusion : We never learn est une lecture qui reste sympa mais sans plus.

Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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We never learn est un manga shonen dans lequel Nariyuki, un élève travailleur qui convoite une bourse d'étude afin d'intégrer une université prestigieuse, doit pour l'obtenir devenir le tuteur des deux génies de son lycée. Génies géniales dans une discipline, mais calamiteuses dans celle qu'il doit leur enseigner.

Le courant n'est pas du tout passé entre ce manga et moi. Avec ses airs de shojo bien plus que de shonen, je pensais pourtant l'apprécier, car je me considère comme plutôt bon public dans le genre, mais je me suis ennuyée ferme.

L'histoire commençait bien, avec un petit côté Assassination Classroom, mais ça se gâte très vite, dès qu'on découvre ce que sera le fil rouge de l'intrigue. Ogata et Furuhashi, respectivement génie des sciences et génie des matières littéraires, veulent toutes deux étudier… Eh bien, l'inverse.

Le problème ? Ogata est incapable de disserter autrement qu'en utilisant des chiffres, et Furuhashi répond à des calculs par des mots. Autant dire qu'un élève de CP ferait mieux qu'elles. À la limite, le fait qu'Otaga ait du mal à interpréter un texte, à déchiffrer les émotions d'un personnage ou d'autrui, d'accord, c'est crédible, mais pour le reste, non. Elles ne peuvent pas être à la fois aussi géniales et aussi nulles, je n'y crois pas une seconde.

Surtout que, pour des personnes déterminées à étudier ces matières en particulier, elles ne semblent pas beaucoup y mettre du leur, sans quoi elles obtiendraient plus de 2 à de simples tests. C'est trop facile, le « On veut faire ça, on en a marre qu'on nous dicte notre avenir sous prétexte qu'on est des génies, et on ne laissera personne nous détourner de notre objectif… sauf qu'on n'y arrive pas. »

Et ce pauvre Nariyuki est donc amené à devoir les épauler tant bien que mal, parce que son propre avenir est en jeu. Car oui, dans ce manga, si vous êtes géniale dans une matière, tant pis si vous êtes une calamité dans toutes les autres, vous avez droit à tous les privilèges. Tandis que si vous êtes bosseur et que vous obtenez de bons résultats réguliers, mais jamais le sommet, vous êtes de corvée.

Et ça vaut également pour la natation, puisque pas assez de deux génies, Nariyuki se retrouve rapidement avec une future sportive de haut niveau sur les bras. Tant qu'à avoir un lycéen à exploiter, autant l'exploiter jusqu'au bout, je suppose.

N'ayant pas du tout réussi à adhérer à cette ligne scénaristique, je ne pouvais par conséquent pas accrocher à ce manga. Même durant les passages qui se veulent un peu plus poignants, un peu plus profonds, je suis restée en dehors.

Je ne lirai pas la suite, je n'ai vraiment pas été séduite, mais si ce thème ne vous rebute pas, et si vous ne craignez pas de lire un manga qui a l'air, dès son premier tome, de tourner un peu en rond, vous pouvez vous laisser tenter. Moi, je passe mon chemin.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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