Sans rien dire, j’obéis. Sa cravache remonte le long de ma cuisse, doucement, soupèse mes couilles, passe entre mes fesses, effleure celles-ci puis poursuit sur mes reins, où elle s’immobilise.
— C’est décevant qu’un garçon comme toi préfère les mecs !
— Vous n’avez pas encore remarqué qu’il n’y avait pas de filles ici ? ai-je protesté.
À cause de ma peau encore mouillée, le premier coup sur la fesse me fait hurler.
— Silence !
Sa cravache caresse mon cul. J’ai vraiment très mal. J’aimerais bien que quelqu’un arrive pour la surprendre.
Le Pensionnat de Gilles Milo-Vacéri