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Critique de LeslecturesdeVeronique


"Meurtre sur un bateau de fleurs" de Robert van Gulik.
Après avoir lu d'élogieuses critiques sur les enquêtes du juge Ti écrites par Frédéric Lenormand, j'ai décidé de découvrir ces romans policiers. Par erreur, j'ai téléchargé les "Trois enquêtes du juge Ti" de Robert van Gulik, premier auteur de cette série.
J'ai terminé ce matin la première enquête "Meurtre sur un bateau de fleurs" et j'ai vraiment beaucoup aimé. Même si j'ai trouvé les premiers chapitres assez ardus (nombreux noms chinois à mémoriser et double meurtre à élucider apparemment sans lien), j'ai vite été entraînée dans cette passionnante enquête, qui mêle scènes d'actions et déductions. Les pistes sont nombreuses et on ne découvre les coupables qu'aux dernières pages du roman.
Un roman très bien écrit et qui nous apprend beaucoup sur la vie sociale chinoise.
C'est donc avec un grand plaisir que je vais poursuivre avec la deuxième enquête du juge Ti.
Résumé éditeur
"666, dans le district montagnard de Han-yuan, où le vénérable juge Ti officie d'une main ferme, l'atmosphère est lourde de menaces. Aux portes de cette ville isolée, un lac de sinistre réputation retient pour toujours les corps de ceux qui s'y noient. Alors que le juge Ti est convié à un banquet en son honneur à bord d'un bateau-de-fleurs, une maison de rendez-vous flottante, Fleur-d'Amandier, une courtisane qui souhaitait lui livrer d'importantes informations est assassinée. Avec l'aide de ses lieutenants, le magistrat à la probité sans faille plonge alors au coeur d'une enquête aux ramifications inattendues sur lesquelles plane l'ombre malfaisante du Lotus Blanc... "
Biographie de l'auteur "
"Hollandais, Robert van Gulik (1910-1967) est un fin érudit et un véritable polyglotte (néerlandais, anglais, japonais, malais, javanais, latin, grec mais aussi chinois et russe). Après avoir étudié à Leyde et à Utrecht le droit et la politique, il entre aux Affaires étrangères. Il s'initie à la poésie et à la calligraphie chinoises, au tibétain et au sanscrit, à la philosophie bouddhiste. Après avoir assimilé cette formation de lettré chinois, il publie deux ouvrages, l'un sur le luth chinois, l'autre sur la peinture. Il continue son oeuvre au cours de ses pérégrinations de diplomate, au Japon, au Liban, en Malaisie, à Washington. C'est en 1948, au Japon, qu'il traduit un roman policier chinois, le Dee Gong An ou Trois affaires criminelles résolues par le juge Ti, fonctionnaire de l'époque T'ang. En s'inspirant de vieux récits chinois, Van Gulik écrit alors dix-sept récits policiers fictifs, affaires débrouillées par son juge Ti, qui font découvrir au lecteur occidental maints aspects de la vie sociale en Chine ancienne."
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