>
Critique de NicolaK
Le roman se déroule sur deux époques :
2011. Alice, mariée à Oliver, tient un journal intime sur les conseils de sa psy, qu'elle consulte à son corps défendant.
2018. Alice est à Paris, seule, maniaque à l'extrême, victime de crises d'angoisse plus ou moins chroniques, et cherche un appartement et un travail.
.
*******
.
Je découvrais Marie Vareille avec ce roman, et je dois avouer que les débuts furent laborieux.
.
Les chaussettes orphelines et moi étions parties du mauvais pied, au point que j'ai failli abandonner. Alice ne m'était pas sympathique du tout, et ses histoires d'ovulation m'ennuyaient profondément...
Jusqu'à ce que j'arrive à un passage de son journal où elle parle de sa petite soeur, Scarlett...
.
C'était bon, j'étais piégée. J'ai ressenti une profonde empathie pour cette cadette (11 mois d'écart entre les deux gamines) conçue par accident et rejetée par ses parents.
.
Le père est parti en apprenant la grossesse et la mère le reprochant à Scarlett, n'aimait qu'Alice, sa fille parfaite.
.
À partir de là, le livre s'est nettement amélioré à mes yeux et je n'ai pu le lâcher qu'après avoir lu la dernière ligne.
.
La plume est belle, fluide, poétique, et l'histoire prenante. Bien souvent, les larmes ont pointé au bord de mes cils ; c'était tout juste.
.
Un feel-good pas si good que ça finalement, puisqu'on est plus proche de la comédie dramatique, voire du drame, mais le récit est ponctué d'humour, ce que j'ai grandement apprécié.
.
Ajoutez à ce récit plaisant une fin explosive à laquelle je ne m'attendais pas du tout.
.
Je remercie ma copine MissFourmi qui m'a alléchée avec ses extraits et a fini de me convaindre avec son retour élogieux.
2011. Alice, mariée à Oliver, tient un journal intime sur les conseils de sa psy, qu'elle consulte à son corps défendant.
2018. Alice est à Paris, seule, maniaque à l'extrême, victime de crises d'angoisse plus ou moins chroniques, et cherche un appartement et un travail.
.
*******
.
Je découvrais Marie Vareille avec ce roman, et je dois avouer que les débuts furent laborieux.
.
Les chaussettes orphelines et moi étions parties du mauvais pied, au point que j'ai failli abandonner. Alice ne m'était pas sympathique du tout, et ses histoires d'ovulation m'ennuyaient profondément...
Jusqu'à ce que j'arrive à un passage de son journal où elle parle de sa petite soeur, Scarlett...
.
C'était bon, j'étais piégée. J'ai ressenti une profonde empathie pour cette cadette (11 mois d'écart entre les deux gamines) conçue par accident et rejetée par ses parents.
.
Le père est parti en apprenant la grossesse et la mère le reprochant à Scarlett, n'aimait qu'Alice, sa fille parfaite.
.
À partir de là, le livre s'est nettement amélioré à mes yeux et je n'ai pu le lâcher qu'après avoir lu la dernière ligne.
.
La plume est belle, fluide, poétique, et l'histoire prenante. Bien souvent, les larmes ont pointé au bord de mes cils ; c'était tout juste.
.
Un feel-good pas si good que ça finalement, puisqu'on est plus proche de la comédie dramatique, voire du drame, mais le récit est ponctué d'humour, ce que j'ai grandement apprécié.
.
Ajoutez à ce récit plaisant une fin explosive à laquelle je ne m'attendais pas du tout.
.
Je remercie ma copine MissFourmi qui m'a alléchée avec ses extraits et a fini de me convaindre avec son retour élogieux.
