AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de candlemas


Après Apollinaire et Cendrars, dont j'ai tant aimé la poésie brute et les vers libres, le caractère parfois mystique et les chocs, je m'étais égaré dans l'intellectualisme des vers de paul Valéry... déçu, j'ai alors découvert Verhaeren.... diable, comment est-il possible que l'on n'en parle pas en cours de français dans un cycle classique, aux côté d'un Baudelaire ? est ce parce que ce moderne qui chante si bien la Ville de 1895 en notre langue le fait avec un accent d'Anvers ? J'ai aimé tes idées de rebelle, à la Zola ou Jules Vallès ; ta puissance lyrique, électrique, digne dans mon souvenir des Châtiments de Hugo ; dire que tu es mort sous les roues d'un train en partance, toi qui, dans"Les villes tentaculaires", chantait si bien la beauté perverse de la ville et de la modernité, avec tes accents prométhéens ! Un poète humaniste comme je les aime, qui rejoint ainsi ses frères de plume cités plus haut... à découvrir ou/ et approfondir... dans tes Campagnes hallucinées.
Commenter  J’apprécie          162



Ont apprécié cette critique (15)voir plus




{* *}