Venise est une cité touristique, mais il suffit que Bob Morane y paraisse pour qu'aussitôt l'atmosphère devienne moins paisible. Aider une jeune orpheline à récupérer l'héritage de ses ancêtres n'est dailleurs pas une entreprise de tout repos, il faut le reconnaître, surtout quand la "Main noire" s'intéresse à l'affaire.
A travers Venise, ses lagunes romantiques, ses palais et ses oubliettes, le long des chemins de montagne menant au château des Aigles, Bob Morane livrera un combat opiniâtre au chef de la redoutable bande de malfaiteurs.
Cette fois cependant, notre héros aura affaire à trop forte partie et ce sera cette circonstance qui lui permettra justement de triompher.
Une aventure trépidante, menée de bout en bout par un Bob Morane plus audacieux que jamais et qui, une fois encore, ne sera pas avare de ses efforts pour la défense d'une juste cause.
(quatrième de couverture du volume paru aux éditions "Marabout Junior" en 1957)
Refrain
Et soudain surgit face au vent
Le vrai héros de tous les temps
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Bob Morane contre tout chacal
L'aventurier contre tout guerrier
Indochine (1982)
Sabrina ne paraissait pas encore tout à fait rassurée.
— Mes ennemis sont puissants, dit-elle, et dénués de tout scrupules. Ils pensent que j’ai en ma possession quelque chose qu’ils convoitent et, pour avoir cette chose, ils n’hésiteront pas à nous assassiner tous trois s’il le faut. D’ici à ce que nous soyons en sécurité chez vous, ils pourront attaquer à nouveau et, cette fois, soyez assurés qu’ils ne manqueront pas leur coup.
Morane sourit.
— Bill et moi nous vous encadrerons et, sans vouloir nous vanter, nous sommes capables de former une solide équipe de gardes du corps. Et puis – il frappa sur sa poche dans laquelle il avait glissé le revolver – j’ai là de quoi répondre à vos ennemis s’ils se montrent. D’ailleurs, si je ne m’abuse, voici un taxi libre qui s’amène. Nous allons le prendre et, dans quelques minutes nous serons en sécurité dans mon appartement, toutes portes et fenêtres soigneusement closes.
Vingt secondes plus tard, le taxi emportait les deux hommes et leur nouvelle protégée, en direction du quai Voltaire, où Bob Morane avait son logis.
Moi, comte Guilio Alferi, ai
en raison des crimes qui ont été
maudit aussitôt après ma mort,
Pour cela, j'ai appelé sur lui
à ce que soit anéanti quiconque
Seule, une femme, qui serait la
pourra rentrer en possession
ainsi de la famille.