Mentionné et rangé comme recueil de poésie, il s'agit plus exactement de courts textes, avec quelques poèmes, émaillés de très belles illustrations, de celle qui a été la poète nationale et est-ce que le titre ne reste pas ?
Le premier texte "Zébuth" m'a fait penser au Maître et Marguerite de
Boulgakov ou aux ambiances que peut créer
Krasznahorkai, notamment dans le
Tango de Satan.
Laurence Vielle nous raconte ses fêlures mais surtout son amour pour
Bruno, décédé, dont la perte nourrit ses errances poétiques.
Le tout est très beau. Je conseille vivement.
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