- Tu viens pas me consoler ?
- Francesca, tu le savais. Tu vas pas me dire que tu pensais que c'était l'homme de ta vie, hein ?
- Mais viens me consoler ! Je suis au bord du suicide ! Je vais mourir.
- Tu veux pas boire ton thé, plutôt ? Hein, Francesca ? T'es chiante, tu sais.
Plus l'amitié est grande, plus la douleur est forte.
« C’est qui ce mec ? C’est ton frère ? […] C’est ton ex ? » (p. 60)
« Nous revoilà tous les deux célibataires. Demain, on se fait les boutiques. / Si tu veux, mais je sais pas sur ça arrangera grand-chose… / Allez, tu vas voir… On va redevenir inarrêtables. » (p. 35)
- Ecoute, va falloir que tu m'expliques. Hier soir, tu me dis qu'on peut pas se voir car tu as cours ce matin. Je passe devant un café, et t'es avec ce mec.
- Ce mec ? Mais c'est Bruno, attends, t'as pas cru que ...
- Il se passe que les mecs sont vraiment abrutis, et là j'en ai la preuve vivante !
-Je dois y aller Bruno, on m'attend
-Oui, moi aussi on m'attend