The Devil's Sons, tome 1

Vous les hommes, vous avez le chic pour créer des problèmes où il y en a pas ! « Si la non-violence est la loi de l’humanité, l’avenir appartient aux femmes. » Pour les incultes, c’est de Gandhi »

Le temps ne t’a pas épargné, tu as grandi. Toutefois, certaines choses restent intactes, comme l’amour que tu voues à tes parents. Et si un jour cette forêt vient à disparaître, ça n’effacera pas leur souvenir. Rien ne remettra en cause le fait qu’ils étaient là il y a quelques années, avec toi. Tu es la preuve de leur vécu. De leur amour.

Comme je crois en l’amour sans avoir foi en lui. Je pense qu’on le définit mal. Ce qu’on qualifie d’amour aujourd’hui, ce n’est qu’une illusion, un mensonge ancré et entretenu pour se sortir de la solitude.

Je ne te demande pas de fuir, je te demande de vivre.

Une femme qui vise les couilles, c’est prévisible. Une femme qui met une droite, non.

Ne t’empêche jamais de vivre à cause des regards. Même s’ils sont effrayants, ils ne tuent pas. Ils ne peuvent te faire mal que tu si tu leur en laisses la possibilité.

Ce sera toujours elle et moi contre le reste du monde.

"- Tu es parfaite, m'assure Set. S'ils ne sont pas prêts à se mettre à genoux devant ton éloquence, je le ferais pour une tout autre raison."

J'avais déjà perdu mon souffle dans son regard, à présent je perds mon âme dans ce baisers. p259

Avec eux, rien n'est grave. Une fausse déposition ? Un jeu d'enfants. Se faire braquer par 100 hommes ? La routine. Traverser la frontière avec des choses illégales que dans le coffre ? Un parcours de santé. Ils prennent la situation avec tellement de légèreté qu'à ce moment je ne crains plus la douane. La confiance est si intense qu'elle me contamine. p240