Nous retrouvons la jeune ramoneuse Addidas dans les sous-sols de sa cité industrielle en compagnie de cet étrange être simiesque qu'elle apercevait dans ses flashs hallucinatoires : la réalité a rejoint le rêve. En parallèle, nous suivons son père qui se retrouve confronté à l'administration et envoyé aux travaux forcés dans le “Grand Trou”.
J'aime toujours autant le trait épais et les aplats de couleur de
Frederik Peeters pour créer ce monde industriel sombre et cruel, entre cheminées immenses, boyaux étroits, dortoirs bondés et machines des profondeurs.
Encore un album qui se lit vite et bien.
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