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Critique de blandine5674


Merci à Masse critique et aux éditions Slatkine & Cie pour l'envoi de ces nouvelles tout en sensibilité et puissance de Benedict Wells, un auteur à suivre. Vu qu'elles sont très variées, je tente de les faire concises pour chacune.
La promenade : un homme fait une balade en montagne. Sur l'espace temps. Troublant.
La pension : rappel de son roman La fin de la solitude. Comment peut-on être si être proches dans l'enfance et perdre tout contact ?
La Muse : choisir entre la passion de l'écriture qui dévore et l'amour. Est-il obligatoire de faire un choix au risque d'en perdre du bonheur ?
Ping-pong : huis clos, obsession, adversité. On ne peut que penser à deux personnes enfermés dans un bureau sans s'être choisies. Très troublant et dérangeant. M'a fait penser au Joueur d'échec.
Richard : une vieille dame a besoin de parler de son chat. Personne n'a le temps. Tristesse et solitude de la vieillesse.
La nuit des livres : joli conte sur les classiques. Et s'ils se côtoyaient ?
La Franchise ou La vérité sur le mensonge : Sur les grands scénaristes américains. Retour vers le futur ? Nouvelle la plus longue, pas trop concernée.
La mouche : Comment la vie d'un homme carriériste et égoïste va basculer face à une petite bestiole comme une mouche...
L'émergence de la peur : passage enlevé de la Fin de la solitude. Deux frères qui subissent la violence du père. Révolte ?
Cent mille : 30 ans qu'un père attend que sa voiture passe le compteur aux 100 000, à moins que ce soit le fils ? Pudeur à dire Je t'aime, ambiguïtés des mots et gestes non compris entre enfant et père.
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