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Critique de okka


Je connaissais le film Ghostdog la voix du samouraï, que j'adore et qui a peut-être été inspiré par le roman Shibumi de Trevanian. Et j'ai adoré ce roman d'espionnage de Don Winslow : Satori, également inspiré de Shibumi et que, j'espère un jour pouvoir lire l'oeuvre principale.


Automne 1951, pendant la guerre froide, on suit Nicholaï Hel, vingt-six ans et qui est un  assassin sachant parler plusieurs langues ( russe, anglais, français, chinois et japonais) est entre les mains de la CIA. Il va être chargé d'une mission d'assassinat sur un agent russe qui exerce à Pékin, et dont il a un compte à régler avec.

Mais avant d'y aller il va être opéré au visage pour réparer les dégâts que ses bourreaux qui l'emploient lui ont infligés pendant son emprisonnement, et ainsi mieux se fondre physiquement dans sa nouvelle identité empruntée à un français vendeur d'armes.

Sa mission très risquée dont le but principal étant de diminuer l'influence communiste russe qui s'étend en Asie, où il y a pendant cette période la guerre de Corée et d'Indochine. Sans oublier ce climat de méfiance avec la surveillance constante par la police secrète, des agents infiltrés espions et le contre-espionnage.

L'auteur va nous faire voyager entre la Chine et le Vietnam pour y découvrir une partie des manigances politiques et mafieuses réels dont l'auteur s'inspire... et qui ont malheureusement perduré là-bas et ailleurs et dont le sujet a piqué ma curiosité :)
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