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Critique de iris29
Ecrivez une comédie romantique , qui s'inspire et rende hommage à toutes les comédies romantiques que vous avez pu voir au cinéma .
Vous avez 1 mois ...
C'est, à peu près,(moins le temps accordé !) , le sujet de ce roman : un véritable exercice de style. du coup, c'est un peu "lourdingue" dans le procédé narratif, puisque l'auteur , en plus de raconter "son " histoire y incorpore des morceaux choisis ( La Rencontre ...), des meilleurs films . Chaque chapitre démarrant avec un petit paragraphe digne d'un synopsis.
C'est lourdingue, mais c'est aussi extrêmement "balèze", parce que ce n'est pas évident à faire.
Evie Summers est assistante d'un agent de scénariste depuis maintenant sept ans et elle désespère gravir les échelons pour devenir agent . Aussi lorsque son boss, la somme, de coacher un jeune scénariste talentueux en mal d'inspiration, elle est au pied du mur. Il doit écrire une comédie romantique, mais il n'y croit pas . Alors, un peu pour lui, ( beaucoup pour elle ) , elle va essayer de reproduire dans la vraie vie , les meilleures rencontres de cinéma. de "Coup de foudre à Notting Hill" (la scène du gobelet renversé sur le haut de Julia) , au veuf de "Holidays," en passant par le personnage sourd de "Quatre mariages , un enterrement" (réincarné dans une charmante petite fille), vous allez crouler sous les références et vous régaler de la façon dont l'auteure s'en inspire pour mieux les détourner.
J'ai beaucoup aimé les passages sur le "veuf triste" et sa fille, beaucoup moins ceux avec le scénariste . La caricature est volontaire, mais du coup , il n'a pas beaucoup de relief . Et puis l'avoir surnommé ANU (arrogant numéro un) est particulièrement pénible à l'oeil, puisque ce mot apparaît très, très ( trop ) souvent...
Une comédie sympathique , avec quelques lourdeurs... Il lui manque des envolées farfelues, un peu de " liant",( difficile de "s'inspirer de " , tout en demeurant créative ...).
Je suivrai la carrière de Rachel Winters avec beaucoup d'intérêt , car, une fois "digérés " ses "maîtres et modèles", elle pourrait bien nous surprendre...Certaines répliques sont dignes des plus grandes comédies !
Vous avez 1 mois ...
C'est, à peu près,(moins le temps accordé !) , le sujet de ce roman : un véritable exercice de style. du coup, c'est un peu "lourdingue" dans le procédé narratif, puisque l'auteur , en plus de raconter "son " histoire y incorpore des morceaux choisis ( La Rencontre ...), des meilleurs films . Chaque chapitre démarrant avec un petit paragraphe digne d'un synopsis.
C'est lourdingue, mais c'est aussi extrêmement "balèze", parce que ce n'est pas évident à faire.
Evie Summers est assistante d'un agent de scénariste depuis maintenant sept ans et elle désespère gravir les échelons pour devenir agent . Aussi lorsque son boss, la somme, de coacher un jeune scénariste talentueux en mal d'inspiration, elle est au pied du mur. Il doit écrire une comédie romantique, mais il n'y croit pas . Alors, un peu pour lui, ( beaucoup pour elle ) , elle va essayer de reproduire dans la vraie vie , les meilleures rencontres de cinéma. de "Coup de foudre à Notting Hill" (la scène du gobelet renversé sur le haut de Julia) , au veuf de "Holidays," en passant par le personnage sourd de "Quatre mariages , un enterrement" (réincarné dans une charmante petite fille), vous allez crouler sous les références et vous régaler de la façon dont l'auteure s'en inspire pour mieux les détourner.
J'ai beaucoup aimé les passages sur le "veuf triste" et sa fille, beaucoup moins ceux avec le scénariste . La caricature est volontaire, mais du coup , il n'a pas beaucoup de relief . Et puis l'avoir surnommé ANU (arrogant numéro un) est particulièrement pénible à l'oeil, puisque ce mot apparaît très, très ( trop ) souvent...
Une comédie sympathique , avec quelques lourdeurs... Il lui manque des envolées farfelues, un peu de " liant",( difficile de "s'inspirer de " , tout en demeurant créative ...).
Je suivrai la carrière de Rachel Winters avec beaucoup d'intérêt , car, une fois "digérés " ses "maîtres et modèles", elle pourrait bien nous surprendre...Certaines répliques sont dignes des plus grandes comédies !
