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Critique de Darkhorse
Entrez de façon captivante dans le monde des arbres.
Peter Wohlleben n'a pas son pareil pour nous transporter en pleine balade sylvestre, avec une érudition passionnée et un sens de la vulgarisation adéquat.
Loin d'être un livre gavé de notes de bas de page et de mots savants repoussants, cet ouvrage se lit avec plaisir et détente, chapitre après chapitre, mot après mot. Car l'auteur, forestier allemand, nous apprend quelque chose à chaque paragraphe et nous ouvre l'esprit grâce à des hypothèses aussi curieuses qu'évidentes.
J'ai pour ma part succombé dès le premier chapitre, introduisant notre balade d'une mystérieuse révélation : les arbres communiquent.
Par la suite, Peter wohlleben avance ses hypothèses comme quoi les arbres aussi ont des sens, ils sentent, goûtent, voient et entendent. Ils se touchent également et grâce à toutes ces interactions, ils se parlent, se protègent les uns les autres et traversent ensemble les épreuves de la vie.
Notre méconnaissance de cet écosystème est abyssal. Nous sommes ignares, si jeunes et si stupides. Alors qu'eux, vieux sages immobiles ont développé toutes sortes de techniques et de relations pour affronter les âges. Des relations particulières, d'abord avec les champignons, organismes inclassables et indispensables, véritable réseau internet de la forêt. Mais aussi avec les insectes, qu'ils combattent ou au contraire utilisent.
Ils ont même établi une relation intime avec la mort, vu qu'elle est indéniable. Ainsi chaque arbre tombé va servir de nourriture à la forêt et faire perdurer toute la vie qui y habite.
Un monde étrange, peuplé d'êtres vivants méconnus et honteusement dénigrés. Un univers propre, doué de conscience et au charme irrésistible. Nous n'en connaissons rien et nous gagnerons beaucoup à le déchiffrer dans le respect qui incombe à cette terre de légendes.
L'édition illustrée que j'ai lue est magnifique. Les sublimes photos en rapport avec le propos permettent de nous immerger encore plus.
Peter Wohlleben n'a pas son pareil pour nous transporter en pleine balade sylvestre, avec une érudition passionnée et un sens de la vulgarisation adéquat.
Loin d'être un livre gavé de notes de bas de page et de mots savants repoussants, cet ouvrage se lit avec plaisir et détente, chapitre après chapitre, mot après mot. Car l'auteur, forestier allemand, nous apprend quelque chose à chaque paragraphe et nous ouvre l'esprit grâce à des hypothèses aussi curieuses qu'évidentes.
J'ai pour ma part succombé dès le premier chapitre, introduisant notre balade d'une mystérieuse révélation : les arbres communiquent.
Par la suite, Peter wohlleben avance ses hypothèses comme quoi les arbres aussi ont des sens, ils sentent, goûtent, voient et entendent. Ils se touchent également et grâce à toutes ces interactions, ils se parlent, se protègent les uns les autres et traversent ensemble les épreuves de la vie.
Notre méconnaissance de cet écosystème est abyssal. Nous sommes ignares, si jeunes et si stupides. Alors qu'eux, vieux sages immobiles ont développé toutes sortes de techniques et de relations pour affronter les âges. Des relations particulières, d'abord avec les champignons, organismes inclassables et indispensables, véritable réseau internet de la forêt. Mais aussi avec les insectes, qu'ils combattent ou au contraire utilisent.
Ils ont même établi une relation intime avec la mort, vu qu'elle est indéniable. Ainsi chaque arbre tombé va servir de nourriture à la forêt et faire perdurer toute la vie qui y habite.
Un monde étrange, peuplé d'êtres vivants méconnus et honteusement dénigrés. Un univers propre, doué de conscience et au charme irrésistible. Nous n'en connaissons rien et nous gagnerons beaucoup à le déchiffrer dans le respect qui incombe à cette terre de légendes.
L'édition illustrée que j'ai lue est magnifique. Les sublimes photos en rapport avec le propos permettent de nous immerger encore plus.
