La religion des ces chrétiens inculque la servilité… le silence… l’obéissance totale… la torture comme honneur… la douleur et la mort comme récompense à la fin. Mais mes dieux, non. Je les ai priés pour ma liberté. Pour mon bonheur. Pour partir, le vent dans le dos… Pour vivre comme eux. J’ai prié. Et lorsque le tonnerre gronde… que la mer monte et se déchaîne… que la forêt gémit et que la terre elle-même tremble sous mes pieds… je sais que les dieux de la guerre des terres du Nord m’entendent.
La destinée est impitoyable. Inexorable. Mais parfois bienveillante.
Lorsque le tonnerre gronde… lorsque la mer monte et se déchaîne… que la forêt gémit… lorsque la terre elle-même tremble sous vos pieds… sachez que les Normands sont arrivés.
La neige, malgré sa pureté et sa blancheur, ne peut effacer les crimes des hommes.
- Combien devrais-je en tuer pour ramener les morts ?
- Sven, les morts ne reviennent pas.
- Je le sais bien, merci. Alors, j'en tu autant que possible jusqu'à les rejoindre.
Vivre auprès de mon père était souvent loin d'être une chance.
Un visage familier peut remplacer celui d'un ami quand on est frappés par la tragédie.
- Je n'ai jamais compris le but de tout ça... Envahir et conquérir. On ne peut pas se satisfaire de ce que Dieu a jugé bon de nous donner ?
Calme de la bataille, un état d'esprit que trouve le guerrier au milieu de la violence, quand il ne peut absolument pas se tromper, quand la victoire semble écrite d'avance, et que le temps ralentit...au point d'avoir des minutes là où l'ennemi dispose de secondes.
- Mais putain magnez-vous, bordel ! Il faut que je vous rappelle que c'est une invasion ? Avec des épées pointues, des gens qui crèvent et tout le merdier ?