Tous étaient, à des degrés divers, émus par ses larmes. Sanglots de gens de la campagne venus à la ville. Ces pleurs recelaient d'indicibles et d'innombrables souffrances, mélange de situations compliquées, de combats, de revers et de désarrois, de doutes, mêlés à d'infinies espérances...
Chez soi on compte sur ses parents, dehors, sur ses amis.
La plupart des migrants venus de la campagne travailler en ville, ne passaient pas par des agences pour trouver un emploi. Ils demandaient à des relations venues de la même région, de les recommander auprès de leur unité de travail ou de leur employeur.