Dans ce livre, on se rend compte que le narrateur met beaucoup de temps à comprendre dans quelle situation se trouve lui et sa famille.
Pourtant les conditions sont vraiment inhumaines et non, on sent qu'il veut garder espoir. Mais là où il prend conscience c'est lors de la déportation parce qu'on peut l'appeler comme ça vers Battambang.
En effet, ils se retrouvent tous serrés les uns contre les autres comme dans les wagons à bestiaux à l'époque nazi au mépris de personnes qui meurent pendant le trajet.
On constate les mêmes procédures pour un but de purification.
Mais ce que je n'arrive pas à comprendre c'est le choix qu'a pris le narrateur avec sa femme d'abandonner leur fils pour essayer de sauver la leur ...
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