Ma petite maîtresse, tome 1

Un premier tome qui ne m'a pas assez convaincu pour me donner envie de poursuivre la série. Pourtant, au départ l'histoire m'a semblée originale, mais très vite j'ai trouvé le scénario tiré par les cheveux, et la logique partait aux oubliettes. Les personnages sont perdus dans leur rôle de patron / employé / maîtresse, et perdent le lecteur avec eux. Rapidement, on ne sait plus qui a des sentiments pour qui et pourquoi.
J'ai feuilleté les tomes suivants, dans lesquels j'ai aperçu des choses encore plus rédhibitoires pour moi.
Et les illustrations, quoique bien faites, n'ont pas de petit truc en plus qui me donnerait envie de poursuivre. Je passe donc.

Force omniprésente dans tous les mangas de Yuki Yoshihara, l'humour fait vraiment la particularité de cette série. Si l'histoire d'amour est assez classique dans sa trame, la mangaka joue avec les clichés, retourne les situations, et c'est avec de nombreux éclats de rire que l'on parcoure les pages de la série ! Les caractères des protagonistes et de certains personnages secondaires récurrents sont assez bien travaillés et sortent des sentiers battus. On se prend au jeu, on rit, et on leur souhaite bien du courage ^^'

Le trait est fin et épuré, sans être spécialement remarquable, il est très agréable.

Pour moi, une des meilleures séries de la mangaka.

Choko est la fille de la célèbre et riche entrepreneur Kuzé. Elle trouve un petit emploi de secrétaire dans une société d'immobilier aux ordres du fils de leur ancien chauffeur. Il est impitoyable mais par moments, il redevient le gentil aux ordres de sa petite maîtresse.
C'est le titre qui m'a intriguée : j'avais lu un livre avec un titre semblable. La couverture du manga m'a paru un peu trop "glamour" et m'a semblé ne pas concorder avec les dessins à l'intérieur. Quelques pages ont suffit pour me mettre dans l'ambiance et pour apprécier les personnages. Les visages sont caricaturés quand ils s'énervent ce qui donnent un côté amusant (parfois même agaçant) au manga. On suit Choko et Cha-chan dans plusieurs situations qui nous mettent à chaque fois un peu plus dans le doute. Quels sont donc les sentiments de Cha-Chan pour Choko ?
Un petit manga shôjo sympa et léger. Pour l'instant, 4 tomes parus en français et 7 au Japon.

A priori, "ma petite maîtresse" de Yuki Yoshihara aux @editions_soleil_manga ne m'aurait pas tentée : la couverture fait craindre une romance cliché entre un beau patron et sa secrétaire. Mais j'ai lu ce soir qu'il était gratuit en numérique sur le mur de @sayori19267 et qu'en plus, il avait été pour elle une excellente surprise. Je confirme : impossible de ne pas rire devant ce croisement improbable entre "Stupeur et tremblements" d'Amélie Nothomb et "Takane et Hana sur un mode survolté (j'essaie de vous résumer au mieux le contenu 😂). Les problématiques abordées sont pourtant sérieuses à l'exemple du harcèlement au travail, qu'il soit moral ou sexuel. La romance entre le boss et son employée paraît convenue de prime abord. Mais... les gags s'enchaînent à un rythme effréné avec un personnage qui parle dans un langage châtié, un patron imprévisible, une héroïne maladroite mais parfois en colère... on voit que le traducteur s'est beaucoup amusé en cherchant des équivalences aux répliques souvent aussi improbables que les situations. 😁 Un scénario WTF, humoristique, avec des illustrations romantiques... bref, si vous voulez rigoler, n'hésitez pas !

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J'ai vu qu'il y avait le premier tome de la série, je me suis donc dit pourquoi pas ?! Il m'aura permis de me change l'esprit entre deux devoirs. Ce manga est facile à lire. Les dessins sont agréables. Lorsque les personnages s'énervent, ils ont une tête de chibi très caricaturale. Je pense que Masayuki est le personnage le plus travaillé. Il joue deux rôles : le chef tyrannique et le serviteur dévoué. Suô est un personnage attachant et ambivalent. C'est assez drôle ! J'ai emprunté plusieurs tomes donc, j'espère que l'histoire s'approfondira.

Chôko, dont la famille était autrefois riche et célèbre, en est réduite à trouver un emploi de secrétaire dans le josei Ma petite maîtresse. Elle reconnaît derrière les airs tyranniques de son nouveau patron Cha Chan, un ancien domestique à qui elle était très liée. le rapport de force se met alors à osciller entre eux, puisque Chôko est à la fois son employée et celle qu'il a juré de servir.

Un manga qui commence par un « Êtes-vous vierge ? » ne partait pas gagnant (et d'ailleurs, je cherche encore la pertinence de cette question humiliante posée devant tout le monde, même en connaissant la suite). J'avais peur de retrouver l'archétype classique du patron dominant et de l'employée soumise (Midnight Secretary, Happy Marriage ?!…), mais heureusement, l'intrigue se détache vite de cet aspect déjà-vu.

Est-ce que cela l'a rendue meilleure pour autant ? Pendant quelques pages, je l'ai cru. le statut et le comportement ambivalent de Cha Chan sont intéressants, et même amusants à suivre, mais rapidement (autrement dit à l'arrivée de Suo), le scénario part en quenouille.

Chôko alterne entre la secrétaire gourde et maladroite et une employée autoritaire capable de s'imposer et de prendre les choses en main. L'ambivalence de Cha Chan devient presque incohérente par moments, et les rebondissements s'enchaînent trop vite. L'irruption de Suo, la révélation de son identité, les interventions ponctuelles de l'insupportable frère de Chôko… Ce manga ne laisse pas le temps de respirer.

Je ne suis pas non plus fan des dessins. La mangaka abuse des chibi, et son style très dynamique renforce l'impression que j'ai eue de voir l'histoire se précipiter. J'ai deux autres tomes dans ma pile à lire, j'espère que ces défauts s'amoindriront par la suite, mais si ce n'est pas le cas, je ne continuerai probablement pas cette série au-delà.
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Il y a une décennie, la famille de Chôko était riche, avait une belle propriété et des domestiques. Hélas, ils ont tout perdu et ses parents tiennent aujourd'hui un restaurant de nouilles. Elle est embauchée comme secrétaire dans une grande entreprise, malgré son CV inexistant. Son patron, Domoto, est un peu un tyran. Un jour, un évènement l'amène à le reconnaître. En fait, Domoto est le fils d'un des anciens domestiques. Finalement démasqué, Domoto est soudain partout dans sa vie, passant en un clin d'oeil du patron tyrannique au domestique respectueux. Un bon début, une bonne dynamique entre les deux personnages principaux.