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Une maison aux comportements hostiles, voire meurtriers, envers ses habitants, voilà de quoi exciter la curiosité du lecteur.
Dès le premier chapitre, on fait connaissance avec Arty, 11 ans, le héros de ce roman au scénario de film d'épouvante qui vit une drôle d'expérience :
« Il chercha à bouger sa main droite, paralysée. Une pression sur son poignet, irrésistible, lui envoya cette information que quelqu'un était là. Quelqu'un le tenait. »

L'auteur nous fait entrer de plain-pied dans cette famille et dans sa maison construite par le père architecte. Des deux garçons, c'est Arty, le plus jeune, que l'on va suivre avec sa bande de copains. Il découvre ses premiers émois amoureux, s'interroge sur le comportement des adultes et vit sa vie de pré ado. Mais voilà que les évènements étranges qui se passent dans cette maison qui a pourtant toutes les apparences de la maison du bonheur, l'inquiètent. Et si la maison était hantée, si elle leur voulait du mal ? Sa découverte d'un secret de famille bien gardé va corroborer ses doutes et une amie de la famille lui révèlera des pans de l'histoire familiale si bien dissimulée. D'autres faits inexpliqués viennent épaissir le mystère de la maison vénéneuse, comme sa mère piquée par une bête invisible. Il y a aussi l'histoire sanglante liée au lieu : autrefois un massacre aurait été perpétré dans une abbaye de femmes.

Le personnage d'Arty est touchant dans sa sincérité et sa recherche de la vérité. Sa vie d'ado est bien racontée mais traine parfois en longueur
L'auteur se complait à nous perdre sur de nombreux chemins, mélangeant réalité et fantastique. L'idée est louable, mais je me suis vite égarée entre ces fantômes d'une autre époque, ces piqures d'une bête introuvable, ces ombres inquiétantes et ces tentatives d'étranglement. Rajoutez à cela les rites de sorcellerie de la mère et le roman devient confus.
Avec des développements excessifs, le style manque d'envergure et casse le rythme alors qu'on aimerait être tenu en haleine.
Dommage ! Mais, comme tout premier roman, il faut rester indulgent… et attendre le suivant.
Je remercie les éditions Belfond et Lecteur.com pour cette lecture.


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Elle reste au premier plan, cette maison, personnage à part entière, qui a instauré un dialogue occulte avec le jeune Arty dont elle peuple les cauchemars !

C'est pourtant une belle et grande maison, qui abrite la vie de cette famille que l'on pourrait penser sans histoire, vu de l'extérieur. Père architecte, mère brocanteuse, un frère ado qui découvre le goût de la liberté, Arthur n'a pas un profil à risque. Mais voilà cette maison qui l'abrite est vivante, il en a de multiples preuves : les bruits qu'elle émet, les ombres furtives qui surgissent à tout moment, tous ces signes n'offrent pas l'ombre d'un doute : elle est hantée. le secret que découvre Arty au cours d'une exploration de la pièce interdite qu'est le bureau de son père, le conduira à échafauder une histoire familiale revisitée, source d'une investigation plus profonde encore pour comprendre ce qui s'est passé et le silence des parents.

Le thème est attractif, et le scénario du roman est calqué sur les films d'épouvante classique. On visualise très bien les scènes et on entend le bruitage terrifiant. le secret est un point d'intérêt qui devrait capté l'attention et susciter l'attente d'une suite. Et pourtant, quelque chose ne fonctionne pas. Sont-ce les longs passages consacrées à l'introspection du personnage, les redites, l'emphase pour décrire les scènes sensibles ? La lecture est fastidieuse, complexe, et soporifique !


Rendez-vous raté avec ce roman qui avait pourtant tous les ingrédients pour être un page-turner.

416 pages Belfond 28 Août 2023

Lien : https://kittylamouette.blogs..
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« La maison vénéneuse » est le premier livre de Raphael Zamochnikoff. Alors autant vous le dire tout de suite, il est totalement atypique et hors norme par rapport à ce que cette rentrée littéraire 2023 a pu offrir aux lecteurs jusque-là.

Arty, 11 ans, est persuadé que sa maison lui veut du mal et qu'elle a tenté de le tuer. Depuis, il est persuadé que sa famille et lui courent un grave danger en y habitant, maison dont son père a conçu les plans, étant architecte de profession. Arty se met alors en tête de tout faire pour protéger les siens, notamment grâce à l'aide de ses deux meilleurs amis et d'Anna, pour qui il en pince de plus en plus, signe des premiers émois amoureux. Différents événements se produiront, laissant penser que l'habitation est vivante et qu'elle n'a pas de bons desseins pour ses habitants.

Ce qui pourrait se comprendre comme un roman sur l'émancipation entre l'enfance et l'adolescence est bien plus qu'un simple drame familial. En effet, les terreurs nocturnes du jeune Arthur sont bien à prendre dans leur premier degré. Dans ses aspects « horrifiques », ce livre a eu le don de me faire dresser les poils de ma nuque.

L'histoire se déroule durant la seconde moitié des années 80, en France, dans l'un de ces nombreux et nouveaux lotissements qui voient alors le jour. Malgré un auteur français derrière ce récit, l'influence américaine n'est jamais très loin avec des références évidentes comme Stephen King ou la série, « The Strangers Things ».

Un reproche qui m'a un peu titillée est la longueur de certains passages ou chapitres. Cette faiblesse minime est peut-être due au fait de la novicité de l'auteur et pourra être gommée en poursuivant sa carrière littéraire ! En tout cas, pour une primo-oeuvre, elle est bien prometteuse et devrait combler les amateurs du genre, tout comme j'ai été séduite !
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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L'enfant qui se bat contre la maison

Le premier roman de Raphaël Zamochnikoff met aux prises un enfant avec sa maison. Persuadé qu'elle lui veut du mal, il va tenter d'en percer le mystère. Une quête qui va lui permettre de découvrir un lourd secret de famille. Habile et haletant!

C'est une peur irraisonnée qui fait fuir Arthur au petit matin. Il quitte la maison, enfourche son vélo et s'éloigne au plus vite de cet endroit qu'il a senti «vivant».
À 11 ans, il sait qu'il ne comprend pas tout et ne peut partager cette angoisse qui l'étreint. Franck, son aîné de cinq ans, se moquera de lui. À moins qu'il ne profite de la situation pour entretenir sa peur en lui livrant d'autres histoires effrayantes. «Des fois, quand je me couche et que j'éteins la lumière, je me dis que si quelqu'un montait et faisait grincer la dernière marche… je deviendrais complètement fou.»
Pas vraiment rassurant. Ni d'ailleurs son goût pour les films d'horreur qu'il raconte à son petit frère avant de lui offrir des séances privées, comme cette «Nuit du chasseur» avec Robert Mitchum, qui le fait cauchemarder.
«Il ne faisait qu'entrer dans le monde grisâtre qui commençait avec le collège. Il allait devoir se trimballer toutes ces peines et bien d'autres qu'il ne connaissait pas encore. L'avenir l'effrayait.» Il a de la difficulté à suivre le rythme, mais trouve un peu de réconfort auprès de ses copains et de la belle Anna qui va devenir sa plus proche amie, même si les deux années qui les séparent lui semblent former un énorme gouffre que son frère n'a lui aucun mal à combler pour se rapprocher de la voisine.
Le récit va alors osciller entre cette peur diffuse et les tentatives de s'en émanciper. C'est avec l'arrivée de l'été qu'il pense avoir trouvé l'apaisement, quand avec son père et son frère, il construit une cabane dans les arbres, sous le regard attendri de sa mère: «Catherine leur apportait de la citronnade, contemplant ses hommes en sueur occupés à bâtir le monde merveilleux d'Arty. Cela faisait longtemps qu'elle ne les avait pas vus si épanouis, si complices. La famille rayonnait.»
Un répit qui va pourtant être de courte durée, car sa mère va être la cible d'une attaque, mordue par on ne sait quoi. Une blessure qui va s'infecter et l'obliger à être hospitalisée, ravivant les craintes d'Arty. Qui reprend son enquête, essaie d'en savoir davantage sur l'histoire de ce coin de pays et ses habitants. Il va aussi découvrir les rituels que pratique sa mère avec les objets de sa boutique. «Elle dit qu'il faut parfois libérer la mémoire des choses, car certaines matières captent des énergies et peuvent les rendre, mais ce n'est pas sain.»
À force de fureter, il va mettre la main – dans le bureau de son père – sur un tube contenant des documents et des photos. «La vérité brûlait. le mensonge aussi. Il attrapa une enveloppe, déformée par son séjour dans le cylindre. Elle contenait une petite carte blanche surmontée d'un noeud de tissu rose. Nous avons le bonheur d'accueillir... Rose. Poupée, Liza. Diminutif d'Elizabeth. Elizabeth Kena, Plus il lisait les mots, plus ceux-ci perdaient de leur sens. Il les prononça plusieurs fois, à haute voix, La date, surtout: 12 mars 1966.» Pourquoi personne ne lui avait-il parlé de cette soeur? et qu'était-elle devenue?
Raphaël Zamochnikoff a trouvé comment entretenir le mystère, comment faire d'une intuition une obsession, comment mêler le factuel au fantastique, sans que vraiment on ne puisse démêler le vrai du faux. Au fil des semaines la tension croît, les secrets sont dévoilés, la famille – y compris la tante et son fils – est totalement déstabilisée.
Si l'auteur a habité le Jura dans une maison semblable, il a surtout été biberonné aux films de genre et à la lecture de Stephen King. Ce n'est du reste pas un hasard qu'au détour d'une page, son frère souligne combien le Talisman l'a marqué: «ses histoires, il sait comment les raconter, tu vois. Je veux dire, il sait quel angle adopter pour qu'on soit happé. On veut toujours tourner la page.» On peut dire qu'il a retenu la recette et que cette maison vénéneuse a tout d'un Stephen King à la française.

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Peuh.



Mais…

Bon. Faut bien commencer quelque part, non ? Alors disons que le ressenti de lecture a fait les montagnes russes. Voilà, disons ça.

La maison vénéneuse se démarquera certainement de ses frangines et frangins de cette rentrée grâce à son aspect typiquement américain. Raphaël Zamochnikoff procède exactement comme ce qu'on attend d'un roman horrifique, influencé par le King lui-même (Stephen, pas Elvis hein)…

…et aussi certainement un peu de Stranger Things (mais qui s'inspire également des fins d'adolescence « Kingienne », des premières grosses déceptions, des doses de courage pour affronter la future vie d'adulte, etc).

Planté dans un décor rural de la fin des années 80, Arthur/Arty nous livre son ressenti à vivre dans sa maison familiale, domaine bourgeois dans lequel il est né et où toute sa famille semble y avoir vécu des évènements tragiques jusque-là dissimulés aux enfants.

Les éléments nostalgiques et typiquement français plaqués sur la ruralité américaine fonctionnent, au moins pour donner envie de terminer le livre, et l'intrigue accroche, alors même qu'on sent les déjà-lus/vus/vécus pointer au fur et à mesure (mais qui des fois, comme des chaussons vieux de 20 piges, vous permettent de vous installer confortablement dans votre lecture).

Anyways, je trouve ce premier roman prometteur, bien meilleur que certains romans d'auteurs et d'autrices confirmé.es et digne de curiosité (donc de ma bienveillance et de mon soutien bb).

Subsiste néanmoins cette impression d'avoir trop « francisé l'américain », mais dans le genre qui pègue.

Un peu comme si un duo de rockeurs français décidait de se baptiser Passage clouté en hommage aux White Stripes ; ça perd en intensité et c'est un risque de passer à côté d'une crédibilité autour des thématiques abordées volontairement par l'auteur.

That's all folks !

- sortie nationale le 17 août 2023 -
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Arty, 11 ans, est le plus jeune des deux fils de la famille Kena.

Un matin d'été 1986, il ressent au réveil une terrible sensation d'étouffement. En ouvrant les yeux il aperçoit furtivement une ombre aux deux bras qui lui encerclent la gorge juste avant de s'enfuir le long du mur de sa chambre. Il comprend alors d'où venait cette peur ressentie depuis quelques temps déjà : sa maison est vivante et lui veut du mal.

Il remarque encore d'autres incidents étranges qu'il impute à cette maison conçue 15 ans plus tôt par son père, architecte, la première construction à avoir vu le jour dans le lotissement de la Chatelaine à Selvigny.

Encouragé par son amie Anna, la seule personne à qui il a confié ses doutes, Arty part à la recherche d'informations sur la bâtisse et trouve un tube en carton au contenu déconcertant dans le bureau de son père.

C'est un premier roman foisonnant et d'une grande maîtrise que nous offre ici l'auteur dans un brouillage narratif où plane une atmosphère surnaturelle qui nous maintient en équilibre sur la frontière entre le roman fantastique et initiatique. Un procédé qui rend parfaitement l'angoisse ressentie par ce jeune garçon submergé par les émotions et les doutes d'un adolescent en gestation avec tout ce que cela implique : la peur de l'inconnu, les expériences nouvelles, la fin de l'insouciance par la prise de conscience de la souffrance de ceux qui l'entourent en même temps que sa propre souffrance.

Cette structure narrative entre étrangeté et familiarité empruntée aux films d'horreur dont il est d'ailleurs fait référence dans le roman lui donne un côté américain qui fait indubitablement penser, entre autres, à Stephen King.

La nostalgie de ma propre adolescence dans les années 80 qui m'a accompagnée tout au long de cette lecture en fait un des meilleurs romans que j'ai pu lire sur le passage de l'enfance à l'adolescence.
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Le jeune Arty 11 ans est convaincu que la maison familiale lui veut du mal et par extension qu'elle pourrait faire du mal à toute sa famille. Son père Paul, architecte a lui même tracé les plans. Sa mère, Catherine a un rapport particulier aux objet anciens et à l'énergie qu'ils dégagent puisqu'elle est antiquaire. Heureusement il peut compter sur ses copains pour le soutenir et lui prêter main-forte. Sans oublier la belle Anna qui prend une place de plus en plus grande dans son coeur. Petit à petit, de mystérieux événements ont lieu qui viennent le conforter dans l'idée que la maison est vivante et mal intentionnée. Mais est-ce dans son imagination fertile où bien cela prend-il sa source dans la réalité. le monde de l'enfance est bien retranscrit avec ses joies et ses chagrins. Un temps qui passe trop vite et laisse à jamais des cicatrices dans le coeur. Entre secret de famille, non-dit et silence, Arty va mettre en place toute une stratégie pour accéder à la connaissance et tenter de réparer ce qui peut l'être.
Dans un style parfaitement adapté à l'âge de l'enfant avec une grande justesse dans sa façon de penser et ses réactions, on le suit dans ses aventures avec pour ma part beaucoup d'empathie pour ce personnage attachant. Un univers qui m'a rappelé ma propre enfance, cabanes dans les arbres et ventrées de cerises cueillies directement sur l'arbre.
Un premier roman merveilleusement écrit avec son côté sombre. On plonge de plein pied dans les terreurs enfantines avec un scénario digne de Stephen King. Loin d'un remake de Poltergeist ou encore de Shinning, on retrouve cependant tous les éléments de suspense, d'angoisse et de tragédie dignes des codes du genre. Laisser infuser le tout dans une ambiance de Guerre des boutons et vous aurez la substantifique moelle de ce roman coup de coeur. Bonne lecture.


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Arty a 11 ans, il rentre au collège et dans l'adolescence avec toutes les questions et tous les bouleversements inhérents à cet âge au combien difficile... Arty est aussi la proie de terreurs nocturnes qui n'ont rien d'imaginaires mais seraient au contraire dues à la maison que son père a bâtie.
.
"La maison vénéneuse" est un bon roman qui oscille entre drame familial et récit d'horreur classique. Par contre, il a le défaut de nombreux premiers romans : vouloir parler de tout ! Clairement, l'intrigue aurait pu être plus resserrée, le titre abrégé de 50-75 pages et aurait été bien plus angoissant. Au final, je reste sur une impression de divertissement pur mais qui ne me marquera pas durablement.
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En partant des terreurs qu'ont souvent les enfants, Raphael Zamochnikoff raconte l'histoire d'un garçon d'une douzaine d'années qui vit dans la peur permanente de ce que cache sa maison.

Issu d'une famille ordinaire, il est très influencé par son grand frère qui lui fait regarder des films terrifiants et entretient ses peurs. Mais dans l'ensemble, la vie de cet adolescent, avec ses copains, son amie, ses parents est tout ce qu'il y a de plus classique

Si des phénomènes inexpliqués viennent parsemer le fil de l'histoire, j'ai plus ressenti cette Maison vénéneuse comme les élucubrations d'un jeune garçon entrant dans l'adolescence, que comme un récit mystérieux sur des phénomènes paranormaux.

Hésitant en permanence entre un récit psychologique et un conte fantastique , j'ai trouvé ce roman d'une longueur infinie et j'ai longtemps espérer y voir arriver un événement marquant qui n'est jamais venu.

Je m'interroge encore sur l'intention de l'auteur qui, s'il voulait nous surprendre, est pour ma part bien passé à côté. J'espère au moins que ce roman aura servi à régler ses traumatismes d'enfant. Personnellement, je n'y ai rien trouvé d'intéressant.

Un coup d'épée dans l'eau.
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Coup de coeur pour ce premier roman !

J'ai adoré l'ambiance délicieusement rétro des années 80, les références distillées judicieusement tout au long du récit (k7 audio, films d'horreur, films et musiques cultes… : La maison du diable, Les innocents, L'invasion des profanateurs, Star Wars, les Dalek, les Pulp… on adore).

Le mystère entoure cette maison ainsi que les secrets de famille et dès le début de la lecture on est comme happé par cette histoire.

Et puis il y a bien sûr Arty, cet adolescent touchant et attachant que l'on voit grandir au travers de différentes épreuves et passer de l'enfance à l'âge adulte.
On a plaisir à le suivre dans son enquête aux frontières du réel…En effet, c'est un roman où plane le surnaturel, c'est aussi un roman d'apprentissage, un récit familial qui ravive toute une époque et la nostalgie de l'enfance.

Il y plane également un esprit à la Stephen King (bande d'enfants, escapade à vélo, nature environnante, chamallow grillé…) dont on sent que l'auteur est admiratif.

Une vraie réussite, portée par une écriture maitrisée, immersive et prenante dès les premières lignes
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