Pensées pour moi-même et quelques autres : Tome 2, A une passante et à tout ce qui ne passe pas

L'homme se sent parfois comme un animal sans compagnie. (pge 14)
Le futur est un présent du passé. (pge 14)
J'ai entrevu le nombril d'une femme du monde. (pge 13)

La nuit est ma boîte noire, dans laquelle je range pêle-mêle un tas de choses. Des choses que je sème, comme de petits cailloux, pour mieux me perdre dans l'obscurité. (pge 35)

LECTEUR DE SOI-MÊME
Quand un livre vous tombe des mains, c'est qu'il s'ennuie en votre compagnie. (pge 53)

Misant sur l'avenir, je me suis lancé dans le vide avec l'espoir que des ailes me poussent en chemin.

Les nuits blanches ne savent pas bien tomber. (pge 29)

L'union de l'homme et de la femme, c'est quatre jambes -piliers pour retenir la terre- et quatre bras pour mieux toucher le ciel.

A partir d'un point final, tout peut recommencer autrement.

Tout en elle me parle, jusqu'à sa langue.

Vous pouvez toujours tuer le temps, il renaîtra de vos cendres.

Le dragon timide n'ose pas déclarer sa flamme.