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Critique de tienstiensolivier


Donc, Baranov, "le mage du Kremlin", c'est Sourkov. Celui qui a orchestré l'arrivée au pouvoir de Poutine et a ensuite été son éminence grise.
Pourquoi l'auteur doit-il prendre cette précaution alors que les autres protagonistes ont gardé leur véritable nom?

Je n'ai pas compris et j'en suis à me demander si je ne suis pas complétement abruti mais je suis passé totalement à côté.

Est-ce un roman, un récit, un essai ?

En général, j'aime bien être ému, transporté dans mes lectures. J'ai besoin de ressentir et là, j'ai eu le sentiment que c'est très froid, sans émotions justement mais c'est sans doute l'intention de l'auteur et ça colle au personnage de Poutine qui ne laisse rien transparaître. Pokerface et froid comme un glaçon.

J'ai pourtant apprécié l'écriture mais je n'ai pas appris grand chose sur la Russie de Poutine. Rien de plus en tous les cas que ce que j'ai pu lire ou visionner à travers les nombreux reportages, documentaires qui tentent de dresser un portrait plus ou moins objectif de Poutine.

Personnellement, j'adhère plutôt à la phrase de Jacques Lanzmann chantée par Dutronc: "On nous cache tout, on nous dit rien".

La partie que j'ai préféré a été l'avant dernier chapitre avec quelques réflexions sur le pouvoir qui sera exercé à l'avenir par les machines, je schématise bien évidemment.

Donc voilà, je ne retiendrai pas grand chose de ce roman de Giuliano Da Empoli.
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