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Critique de enzo92320
Toute l'ambiguïté de ce livre réside dans le point d'interrogation du titre.
On sent que Van Rillaer est partagé entre deux sentiments : la recherche d'une vision équilibrée, qui ne soit pas une analyse "à charge" contre la psychanalyse, et un ressenti sincère que celle-ci fonctionne de manière sectaire.
A l'arrivée, le livre est bizarrement construit. On aurait pu comprendre qu'il mette en balance les apports de Freud et Lacan à la psychologie, et qu'il stigmatise ces fameuses dérives sectaires. A l'arrivée, seule cette seconde partie du contrat est rempli.
C'est dommage car mon propre ressenti est que les problèmes soulevés par Freud et Lacan ne sont pas du tout de même nature. Autant le portrait de Lacan me semble fidèle (je dois confesser que je le tiens pour un escroc flamboyant), autant le portrait de Freud manque de contraste.
A l'arrivée, ce livre, bien que brouillon, permet de récapituler de nombreuses impostures. Mais ce n'est qu'une pièce au dossier, et on n'a pas fini de s'étriper sur le sujet.
On sent que Van Rillaer est partagé entre deux sentiments : la recherche d'une vision équilibrée, qui ne soit pas une analyse "à charge" contre la psychanalyse, et un ressenti sincère que celle-ci fonctionne de manière sectaire.
A l'arrivée, le livre est bizarrement construit. On aurait pu comprendre qu'il mette en balance les apports de Freud et Lacan à la psychologie, et qu'il stigmatise ces fameuses dérives sectaires. A l'arrivée, seule cette seconde partie du contrat est rempli.
C'est dommage car mon propre ressenti est que les problèmes soulevés par Freud et Lacan ne sont pas du tout de même nature. Autant le portrait de Lacan me semble fidèle (je dois confesser que je le tiens pour un escroc flamboyant), autant le portrait de Freud manque de contraste.
A l'arrivée, ce livre, bien que brouillon, permet de récapituler de nombreuses impostures. Mais ce n'est qu'une pièce au dossier, et on n'a pas fini de s'étriper sur le sujet.
