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Truffé de références aux précédentes aventures de ce commandant de navire – que Bec a choisi de présenter, aujourd’hui, comme damné -, le premier tome foisonnant de ce diptyque est tout à fait dans la lignée de ceux qu’illustrait le créateur de la série, tout en renouvelant le thème et proposant plusieurs niveaux de lecture.
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Faisant d’Anne Bonny la plus grande femme pirate de l’histoire, l’auteur opte pour une grande épopée maritime. Un diptyque passionnant entre légende et réalité.
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Il s’échappe de la lecture de « Mon infractus (quand j’étais D.J.) » un sentiment d’urgence sereine, qu’Hervé Bourhis nous fait partager tout au long d’un récit virevoltant d’histoires personnelles et d’anecdotes. La nécessité de raconter cet infarctus exsude de la multiplicité graphique et de l’alternance de différentes mises en page dont Hervé Bourhis use : comme une sorte d’emballement enthousiaste face à un nouveau chapitre de sa vie.
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Les Âmes débordées » est le première volume d?une tétralogie annoncée qui nous a bluffé par la richesse de l?univers décrit, l?évolution de nombreux personnages parfaitement incarnés et le graphisme tout en mouvement et en nuances de Timothée Leman. Une bande dessinée à découvrir pour un lectorat ado-jeunes adultes.
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Quant à l’adaptation de Marco Cannavò, elle permet de redécouvrir le mythe originel : mettant en exergue sa substantifique moelle, tout en en développant une relecture originale et audacieuse.
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Nous ne pouvons que féliciter les éditions Dupuis d’avoir donné leur chance à des autrices novices : l’album que l’on découvre, après une couverture travaillée en relief, est étonnant : d’une grande richesse pour des lecteurs, et probablement beaucoup de lectrices, dès 12-13 ans.
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Une fresque sauvage, poétique et captivante, remarquablement mise en images et en couleurs par l'artiste barcelonais Roger Ibáñez Ugena.
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Le dessin semi-réaliste de l’autrice fluidifie un récit entre réel et imaginaire. Les cases de ce petit album sont aérées et parfois dynamisées, comme dans le manga, par des onomatopées qui se mêlent au dessin.
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Héritier de l’école italienne populaire, riche en personnages anthropomorphes, Horace parvient à séduire les amateurs de « gros nez » que sont les lecteurs français, plus habitués à la sagesse de l’humour franco-belge.
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L’album mêle habilement l’intrigue du drame qui se noue (le meurtre, la mine…) et les aspirations, les espoirs sans illusion de Jim et de Dorothy. En cela, avec des silences et des arrêts sur image, il nous fait sentir les personnages au plus près de leur être.
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On lit d’une traite les 350 pages de ce roman graphique porté par un trait réaliste, baigné d’une ambiance bleutée avec de belles trouvailles graphiques, des lavis à l’encre de Chine : métaphoriques et poétiques.
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L’alliance entre le western et la fantasy est une belle idée qui devrait enchanter les amateurs de ces deux genres.
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De fait, avec ce récit autobiographique si intime [...] Frédéric Bihel rend également hommage, d’une écriture allusive et pudique, mais narrativement puissante, à son panthéon littéraire personnel. Et c’est d’un trait jeté sur le papier qu’il dessine sa propre vie mode d’emploi, avec des clins d’œil de maison en coupe. Il nous livre un ouvrage d’une belle humanité, sans user de pathos et de démonstration, rien qu’avec la légèreté de son crayon et sa force de conviction.
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Fresque magistrale sur la Seconde Guerre mondiale, « Les 5 Drapeaux » est un immense hommage à Vicente Jiménez-Bravo Jiménez-Bravo : un combattant républicain devenu — par le travail de son petit-fils — un héros immortel.
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Le graphisme aquarellée de Madd fait toujours merveille, tout autant dans les douces séquences animalières et campagnardes que dans les scènes d’affrontements, lors desquelles ses couleurs pastel tempèrent une violence parfois explosive. Nous attendons désormais le troisième volume de la série qui nous promet encore de belles surprises, car nous sommes sous le charme du scénario fin de Cédric Mayen à l’équilibre entre poésie et politique et des aquarelles d’un dessinateur autodidacte talentueux.
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