AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

La maison des maiko

Série de 5 livres (En cours). Écrite par Aiko Koyama (5),


Vous aimez cette série ? Babelio vous suggère

909 lectures
9 livres
635 lectures
5 livres
236 lectures
3 livres
1020 lectures
5 livres
743 lectures
11 livres
184 lectures
2 livres
282 lectures
4 livres
1365 lectures
5 livres

Dernières critiques
La maison des maiko, tome 1

Deuxième manga que je débute … et une fois de plus j’adore .

L’histoire est très simple. Nous pénétrons dans un Yakata au milieu des Geikos pour y suivre Kiyo jeune cuisinière . Moi qui suis fan de nourriture japonaise, j’apprécie que plusieurs recettes nous soient expliquées .

J’ai hâte de lire le tome 2 pour voir l’orientation que prend ce manga .
Commenter  J’apprécie          00
La maison des maiko, tome 1

Un début de série très sympa qui fait découvrir les yakata et le monde des Maiko et Geisha à travers la cuisinière.

J'ai beaucoup aimé les dessins, très doux tout comme l'ambiance générale du mangas. Je plongerais dans la suite avec plaisir pour voir l'évolution de Kiyo et des Maiko du Yakata.

Commenter  J’apprécie          00
La maison des maiko, tome 1

Avec des personnages aux traits doux et des décors très réalistes, cette série plonge le lecteur dans la vie quotidienne d'une maison de maiko de Kyôto.

Au travers de cours chapitres, on découvre tout un tas de détails de la vie de ces jeunes filles dévouées aux arts traditionnels japonais, et dont les apparitions dans les quartiers de Kyôto fascinent les touristes (et pas toujours en bien...).

La petite maisonnée ne peut pas tourner le ventre vide, et c'est la jeune Kiyo qui est en charge de leur préparer de délicieux repas, dont l'auteur dévoile les recettes en fin de chapitre (sans les dosages, donc pas faciles à reproduire de manière fiable!). Kiyo, recalée de l'apprentissage des maiko, s'est ainsi trouvé une nouvelle vocation, ce qui lui permet de rester au contact de cet univers qu'elle aime tant, et de sa chère amie d'enfance Sumire, qui à l'inverse excelle déjà dans son art. Les pérégrinations de Kiyo permettent ainsi de découvrir le Kyôto moderne qui a lui aussi ses lieux emblématiques comme le marché de Nishiki.



Une série qui se déguste (c'est le cas de le dire!) à petites doses, les chapitres étant de petits moments de bonheur. Les lecteurs qui ont déjà visité Kyôto ne pourront que se rappeler leur séjour au travers de plein de petits détails. Les autres vivront déjà un très beau voyage entre ces pages.
Commenter  J’apprécie          20
La maison des maiko, tome 1

Manga qui suit la vie d’une maison-école où l’on apprend à être une geisha.

Très intéressant, avec un point de vue original (la cuisinière de cet établissement), cette série est vraiment super pour découvrir cet univers si particulier et les traditions japonaises. Mais attention, 2 tomes sortis en France, et déjà 22 au Japon !
Commenter  J’apprécie          10
La maison des maiko, tome 1

Depuis quelques temps, j'aime bien papillonner ça et là entre les tranche-de-vie seinen ou josei, ces mangas réalistes qui s'intéressent à des aspects sociaux ou culturels de personnages japonais ou coréen. Ils ont quelque chose de léger et d'accessible qui fait du bien, et qui donne un autre visage aux pays asiatiques. Dans cette optique, je suis tombée sur ce premier tome d'une série avec comme sujets la cuisine et l'univers clos des geishas, plus précisément les "Maïkos", des appentis-geisha de la région de Kyoto, dans un cadre contemporain.





Kiyo est entrée dans une école formant des geisha avec sa meilleure amie, dans l'intention de devenir maïkos. Ce sont des artistes polyvalentes dont la maitrise de multiples arts traditionnels japonais se fait sur de longues années. Les apprentis vivent dans une "okiya", une maison géré par une "mère" ( une geisha d'expérience) où elles vivent en groupe et dont tous les espaces sont collectifs. Dans la petite okiya où Kiyo et son amie Su vivent, la cuisinière vient de se blesser davantage au dos, ne pouvant plus, dès lors, s'occuper des repas. Lasse et dégoutées des bentos de dépanneurs/supérette, Kiyo se propose alors de prendre en charge les repas et ce, d'autant plus qu'elle s'apprêtait à rentrer chez elle. On lui a en effet fait savoir qu'elle n'avait pas ce qu'il fallait pour être maïko...En revanche, elle a de bonnes bases en cuisine.





Nous suivons Kiyo dans son train-train culinaire dans la maisonnée. Entre deux recettes, nous en apprenons sur ses origines, mais on se heurte aussi à ses petits tracas domestiques. Kiyo n'a que 16 ans, elle devrait donc être en classe. Ce simple élément est un enjeu en lui-même, notamment quand un policier la prend pour une fugueuse, alors qu'elle ne faisait que son épicerie.





Kiyo et les autres personnages féminins ont de petits corps, des têtes très rondes et une bouille enfantine. Je trouvais qu'avec un graphisme aussi "mignon" et un sujet aussi féminin que ce manga soit classé "shonen", je le trouve beaucoup plus "shojo". La vie dans l'okiya est paisible, bon-enfant, il n'est pas question de rivalités intestines, de jalousies ou de chamailleries, ce qui en soit est très apprécié: C'est désolant la surreprésentation de la mésentente féminine, c'est donc bien d'en avoir des positives de temps en temps. Il faut aussi dire qu'une okiya est une maison "familiale", on y vit ensemble. Les jeunes femmes sont donc aussi des "soeurs", en un sens.





Bien sur, on en apprend sur le monde mystérieux des geishas. C'est la première fois que j'en croise dans un manga à l'époque contemporaine, mais j'en ai entendu parlé dans l'un des livres de la collection "Mon Histoire" de la maison Gallimard, intitulé "Maïko: Journal d'une apprenti-geisha". Les deux livres ont des éléments communs. On y parle des vêtements, on y parle de ces drôles d'oreillers très minces sur lesquels les maïkos dorment pour ne pas défaire leur coiffure ( qui est longue à faire et peut durer une semaine si on est prudente), on y parle des okiyas et de leur aspect familial. Dans les deux cas, être maïko, devenir geisha, est une vocation.





J'ai bien hâte d'en apprendre plus dans cette série, qui est une vraie petite douceur, rempli de superbes kimonos, de plats à l'apparence succulente et de péripéties du quotidien.





Pour un lectorat adolescent du premier cycle secondaire, 12-15 ans+ **Mais les 10-12 du lectorat intermédiaire qui s'y intéresseront pourraient très bien le lire aussi.

Commenter  J’apprécie          24
La maison des Maiko, tome 3

Une jolie série sur un quotidien à la fois banal et hors norme, mais surtout authentique.
Lien : https://www.actuabd.com/La-M..
Commenter  J’apprécie          00

{* *}