Cantal, dans le petit village de Valuejols se trouve le bar épicerie "La grenouille" QG des membres du tricot-club. Dans ce village paisible tout le monde se connaît ou presque. Une tranquillité malmenée par le projet de carrière à ciel ouvert qui divise les habitants. Encore plus quand l'expert en hydrologie est retrouvé mort à la maison d'hôtes.

Josefa qui y exerce le métier de femme de ménage et qui a toujurs soif de justice compte bien mener sa petite enquête. Et elle peut compter sur les autres membres du tricot-club.



J'adore les cosy mystery et quand l'histoire se déroule en France encore plus.

J'y ai retrouvé tous les ingrédients que j'aime de l'enquête et de l'humour.

On prend plaisir à suivre Josefa aux côtés des autres personnages même si je n'ai pas réussi à réellement m'attacher à eux. 

L'écriture de Sylvie Baron (que je découvre) est très agréable.

Une lecture sympathique dont je lirai la suite des aventures du club avec plaisir.

💬 Dans le petit bourg de Valuéjuols se tient un club de tricot, qui à peine remis de sa précédente enquête s'en trouve une nouvelle : Nadia et Max ont-ils vraiment essayé de mettre tous les deux fins à leur jour ou tout cela n'est qu'un meurtre déguisé ? Le tricot Club compte bien résoudre cette énigme.



✒️ J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire au départ il y avait beaucoup de personnages et les points de vue s'alternaient. Une fois les présentations faites j'ai pu lire tranquillement en appréciant finalement ce changement de narration pour plus de profondeur. Ce livre est assez poétique il y a beaucoup de métaphores concernant la nature, il y a aussi une sensibilisation à l'écologie assez nécessaire de nos jours.



Il y avait un autre roman avant celui-ci et si j'ai compris ma lecture il me manque des éléments du tome précédent.

L'enquête se suit bien et j'étais assez fière d'avoir deviné le dénouement avant la fin .

J'ai fini par m'attacher à cette joyeuse bande avec des membres tous très différents mais complémentaires.



↪️ En bref : Un cosy sympa qui me donne envie d'en découvrir la suite.
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J’ai lu presque coup sur coup les deux premiers opus de cette nouvelle série de Sylvie Baron. J’avais en effet beaucoup aimé le premier tome « Un hôte bien encombrant » où il était pas mal question d’écologie, d’environnement.

Dans ce second volume en retrouve avec plaisir les membres du Tricot-Club de Valuéjols, ce charmant village du Cantal. On a plaisir aussi à se retrouver au bar-épicerie La grenouille. Surtout que là, à la Grenouille ça grouille. Et oui, depuis qu’une nouvelle arrivée, nouveau membre du Tricot Club met tout en branle pour prouver le meurtre de son amie d’enfance. Cette dernière c’est Géraldine. Géraldine est originaire de Valuéjols, et sa sœur habite toujours la commune, elle y tient le salon de coiffure. La victime c’est Nadia, qui se serait donner la mort en sautant de la falaise qui surplombe la Planèze de Saint-Flour. Les gendarmes ont avalé la version de Max, le compagnon de Nadia, Ensemble, il aurait voulu se suicider par amour. Mais dans ce pseudo suicide seul Nadia y est restée. Max il est toujours en vie. Et pour Géraldine, Max n’a rien d’un veuf épleuré.

Géraldine est tellement révoltée par le classement de l’affaire dite « des amants de la Planèze »qu’elle arrive a convaincre les amies du tricot club qu’il s’agit d’un meurtre déguisé. C’est vrai que le sauvetage de Max grâce à l’intervention d’un groupe de scouts est des plus troublant. Aussi celles-ci veulent en avoir le cœur net. Et avec Joséfa, notre détective amateur en tête, elles vont reprendre à zéro l’enquête et tenter de faire toute la vérité sur cette terrible affaire.

Toujours avec le Cantal en toile de fond cette ‘intrigue policière est toujours aussi bien construite Sylvie Baron nous propose une enquête menée avec brio. Mais pour une raison que je ne m’explique pas, j’ai toutefois été moins séduite par cette dernière parution.

Pourtant tout est là, l’énigmes policières est embrouillées à souhait. Nos héroïnes sont des plus machiavéliques pour arriver à leurs fins. Les personnages sont toujours aussi attachants. En plus le thème central de ce nouveau chapitre me tient à cœur.

Alors qu’est ce qui a fait que j’ai trouvé cette enquête addictive moins pétulante. J’aurai peut-être dû attendre quelques semaines de plus avant d’entamer ce second opus pour avoir encore plus de plaisir de retournée dans la belle campagne cantalienne et d’entrer dans la danse avec l’irrésistible Joséfa et les tricoteuses.

Ce qui est certain, c’est que si, vous, vous ne connaissez pas ces petits meurtres du Tricot-Club, vous ne serez pas déçu par ce cosy crime bien de chez nous qui mêle suspense, amour, intrigue et émotion.
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Je ne suis pas une fan inconditionnelle des « cosy crime » mais de temps en temps j’avoue que c’est bien agréable à lire. Après avoir lu deux chroniques élogieuses sur « Les petits meurtres du tricot-club », j’ai eu envie de le découvrir. Et me voilà donc partie dans le Cantal aux environs de Saint-Flour en compagnie de Joséfa, une femme de ménage perspicace, au fort caractère mais empreinte d’une grande humanité. Elle travaille à la résidence des Sorbiers dirigée par Marie Charbonnel, une femme d’une quarantaine d’années, assez hautaine et peu sympathique envers ses employés. Mais Joséfa n’est pas du genre à se laisser faire, elle a du répondant. Elle aime son petit coin de Cantal et fait partie du club tricot du mardi même si elle n’aime pas tricoter. Ce qu’elle aime, c’est retrouver les membres du tricot-club, des amis, une vraie famille. Ils se réunissent tous au bar-épicerie La grenouille tenue par la dynamique et chaleureuse Reine Cazals. La tranquillité du village est soudainement troublée par deux évènements qui sont peut-être liés : d’une part, la multinationale Greenbull veut exploiter la diatomite présente dans la narse de Nouvialle, une zone humide à côté du village au détriment de la biodiversité et d’autre part, un hydrologue qui menait l’enquête sur les impacts de cette hypothétique exploitation et qui logeait aux Sorbiers vient de mourir – cet « accident » d’allergie ressemble fort à un meurtre. Il n’en faut pas plus pour que Joséfa se mette à enquêter avec l’aide de ses amis. Cela n’a pas l’air d’être la première fois que Joséfa joue au détective car elle est en lien avec le commissaire Laborie qui a l’air de la tenir en grande estime. La galerie des personnages rencontrés dans ce roman en fait indéniablement tout le charme. C’est un réel plaisir de les suivre, chacun avec ses qualités et ses défauts, mais une amitié solide les unissant. De plus, on ressent l’amour profond que les personnages et l’autrice portent à ce petit coin du Cantal. Pour info, la situation concernant le projet d’exploitation de la narse de Nouvialle est réelle. Un collectif tente depuis des années de faire annuler ce projet pour préserver ce patrimoine naturel précieux. En résumé, ce livre offre un agréable moment de lecture grâce à une enquête bien menée et un suspense qui dure jusqu’à la fin. Mais avouons-le, le véritable charme de cette histoire est avant tout l’amitié au cœur d’un très joli coin de France.
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Profondément contre l’idée de ne pas terminer un livre, je l’ai lu jusqu’au bout, malgré un manque d’enthousiasme dès les premières pages. Je pense que cette histoire tient plus du roman que du cosy mystery et c’est ce qui m’a dérangée.

Trop peu d’enquête, beaucoup de descriptions du paysage, des italiques pour restituer les pensées des personnages (un format qui ne m’a pas convaincue), des rebondissements trop sortis de nulle part (à mon goût) et surtout, finalement : quasiment pas de tricot !

En somme : je n’ai pas accroché 🤷

Entre deux romans plus denses, après une lecture moins convaincante, ou encore au milieu d’une période plus compliquée, il est une valeur sûre vers laquelle je me tourne régulièrement : le cosy mystery ! Je n’y avais pas mis les pieds depuis un petit moment et celui-ci m’est tombé dans les mains, je l’ai dévoré sans tarder.



La promesse de cette nouvelle série était d’ailleurs particulièrement convaincante. Pensez donc, de l’enquête et du tricot, le tout dans une petite ville en pleine ruralité cantaloupe, on cochait toutes les cases ! Et pourtant, malheureusement, ce ne fut qu’une bonne lecture, sans plus.



L’atmosphère est agréable et chaleureuse, les personnages sympathiques. On nous en présente toute une galerie assez haute en couleurs, dont les membres du fameux tricot-club, mais pas uniquement : la femme que l’on suit en particulier est avant tout employée au gîte local, et ses plus proches partenaires d’enquête sont principalement propriétaires du bar et du restaurant de la ville. Finalement, les réunions de tricot sont assez lointaines, et peu pertinentes dans l’avancée de l’enquête. Les protagonistes demeurent intéressants, et j’ai aimé la dynamique de leurs relations, mais côté laine et aiguilles, j’ai été déçue. Dommage.



L’intrigue, quant à elle, fonctionne bien. Les petites révélations arrivent de manière régulière, réorientant à chaque fois la piste du crime. Bien entendu, la conclusion n’aurait pas pu être devinée à l’avance au vu des éléments dont on dispose à l’origine, mais ça n’a rien de surprenant pour du cosy mystery : une toute petite pointe d’invraisemblance fait justement partie de l’ADN du genre ! En outre, j’ai aimé que l’autrice aborde le sujet des écosystèmes locaux, très spécifiques et pourtant primordiaux à conserver.



Si je ne garderai certainement pas un souvenir impérissable de cette enquête, j’y ai pourtant passé un moment plutôt agréable. Une fois passée la déception d’un tricot-club plus qu’anecdotique, l’intrigue maintient suffisamment d’intérêt et se lit assez rapidement.
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Après avoir terminé ma précédente lecture, très dense, j'avais besoin de légèreté ! Je me suis donc laissée tenter par ce cosy mystery à la bibliothèque.

Plutôt une bonne pioche. Si je n'ai pas de coup de coeur (et j'en ai rarement avec ce type de littérature), j'ai passé un bon moment. Il y a ces phrases parfois un peu simplistes qu'on retrouve fréquemment dans les cosy mystery, mais j'ai eu aussi de très bonnes surprises sur ce point, notamment au début du livre ! J'ai apprécié que le contexte entourant notre enquête soit en lien avec une problématique réelle ce qui, à mon sens, a donné plus de corps à l'écriture. Bonne place est faite à la nature, aux oiseaux, au territoire de l'autrice et c'est très agréable !

Tous les éléments de l'intrigue ne sont pas forcément ultra cohérents, mais finalement, ce n'est pas ce qu'on cherche en premier en ouvrant ces romans ! En bref, une bonne surprise.

Une intrigue astucieuse et des personnages attachants, sur fonds de mobilisation contre un projet de carrière insensé sur une zone humide de grande qualité.



On se laisse porter par un récit qui rebondit sans cesse en se demandant où l'auteur va nous entrainer



Avec ce qu'il faut d'humour pour passer un excellent moment



Je recommande vivement