On commence donc ce nouveau tome au quart de tour entre révélations ontologiques et combats sans pitié. Ça ne s’arrête pas jusqu’à la fin et j’ai adoré. Ce cinquième opus est largement au-dessus des précédents.
J’ai même appris une nouvelle chose pour ma culture perso : Songoku (Sun Wukong pour l’original en chinois) est le héros de la légende du « roi des singes », célèbre conte en Asie. Songoku de Dragon Ball est directement inspiré de ce conte. Eh bien, je le savais pas du tout et c’était très intéressant de l’apprendre !
Tout comme Songoku, Ikki va comprendre qu’il n’est pas non plus invulnérable et qu’il y a toujours plus fort que soit. C’est le tome qui apporte enfin une résolution à son malêtre et le fait passer à la fin dans le camp des gentils. Car oui, Ikki est plein de haine, a connu moult malheurs et souffrances et a eu une enfance difficile. Mais, en fait, c’est le cas de tous les autres orphelins de la fondation. Seiya le remet donc à sa place en bonne et due forme :
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