Un second tome aussi bien mené que le premier, si ce n'est deux bémols.

Le premier est que notre frêle héroïne n'a rien du gabarit et la formation d'une gladiatrice, et que malgré ces subterfuges et ces pouvoirs qui contrebalancent quelque peu la donne, elle n'a pour moi rien à faire dans une arène. D'autant qu'elle n'était pas la meilleure épéiste de sa promotion...

Le second... est juste un cri de ras-le-bol personnel: quel est ce besoin de mettre du LGBT à toutes les sauces dans tous les romans actuels? D'autant que je trouve les scènes de sexe à rallonge (parfois une dizaine de pages !), ce qui est selon moi complètement inutile. Passe encore que Mia soit lesbienne, je n'ai absolument rien contre, mais je trouve qu'il y a trop luxe de détails et de descriptions à l'excès. C'est complètement abusé.

Et pourtant je n'ai rien d'un Saint, croyez moi, mais déjà que je ne comprends pas ce besoin de passer toutes les héroïnes en lesbiennes, mais en plus les scènes sont à rallonge ! Serait-ce de la Fantasy... X? Un nouveau genre de littérature ?

Un message de l'auteur que je n'ai certes pas compris...

Heureusement le reste du livre est bien ficelé, et l'on va de surprises en surprises, rendant l'histoire encore plus captivante.

La fin est là encore diabolique... Je n'en dirai pas davantage !

Un début de trilogie sympathique avec notre héroïne Mia, qui allie dans ce premier tome jeunesse candide et noirceur absolue (au propre comme au figuré pour le coup).

J'ai apprécié l'originalité du récit et ces nombreux retournements, le tout dans un style assez épuré. De la noirceur, de l'action, de l'inattendu... fait de ce livre une histoire plutôt captivante qui se laisse lire facilement.

Je trouverais juste un peu léger la simplicité avec laquelle notre héroïne excelle dans tous ces talents en quelques mois de formation seulement... Mais certaines choses peuvent s'expliquer au fur et à mesure de la lecture des tomes suivants (j'en suis au milieu du troisième).

La fin de cet épisode est prenante, autant que surprenante, et vous laissera inévitablement sur votre faim pour enchaîner sur le deuxième... Sachez le!

Troisième tome qui clôture la saga Nevernight que j’ai dévoré et adoré. Je suis triste de quitter cet univers si bien exploité et ces personnages auxquels je me suis attachée. Cette trilogie aura su me captiver jusqu’à la dernière ligne.



Ce tome commence exactement là où nous avait laissé le précédent. Mia a atteint ses objectifs grâce à son rôle de gladiatii. Enfin … c’est ce qu’elle croit. Elle n’est en effet pas au bout de ses surprises et devra redoubler de courage et de force pour faire face aux dangers colossaux qui l’attendent. Ainsi le contexte et l’univers vont s’étoffer et des personnages se révéler.



Dans ce roman, l’histoire prend une ampleur bien plus grande par rapport aux deux premiers tomes dans lesquels le but premier de Mia était de venger la mort de ses parents. Bien sûr cet objectif est toujours bien présent dans son esprit, mais les révélations vont laisser entrevoir de nouvelles perspectives peu réjouissantes. Même si j’ai trouvé que le rythme était un peu plus lent dans ce tome, je n’ai pas trouvé ça dérangeant. Cela permet de digérer les différentes informations et de se questionner sur la finalité de cette histoire. Mais rassurez-vous, l’action est malgré tout bien présente ici. En effet, du fait de ses précédentes actions, Mia a multiplié le nombre de ses ennemis : meurtriers de ses parents, pirates, membres de l’Eglise rouge et même les Dieux eux-mêmes vont lui donner du fil à retordre.



J’ai adoré retrouver Mia qui a évolué et muri. Elle aussi prend conscience que tout cela la dépasse mais elle a gagné en force. Une force physique et morale, mais également une force apportée par ses compagnons d’aventure. En effet, elle n’est plus la jeune fille frileuse à accorder sa confiance et résolue à atteindre seule ses objectifs. Elle est maintenant bien entourée par des personnes de confiance et j’ai aimé son rapport aux autres, tout comme les difficultés de certaines relations, ainsi que les remises en question. Cependant, si ses alliés représentent un atout, ils représentent également sa plus grande faiblesse. Ici, elle réalise qu’à tout moment elle peut perdre les personnes qu’elle aime. L’auteur ne va d’ailleurs pas les épargner et j’ai frissonné et eu le cœur serré plus d’une fois sur le sort qui les attendait.



Au final ce tome est bien celui des révélations. Ces dernières s’enchainent tout au long de l’histoire et tout finit prendre sens. On prend conscience que rien n’a été laissé au hasard et toutes nos questions vont obtenir des réponses. C’est qui fait de cette trilogie une saga vraiment complète avec un univers très bien exploité en terme historique, religieux, politique. J’ai refermé ce livre réellement conquise.

Déjà, j'ai aimé retrouver Tric. C'est mon chouchou. Il est tellement doux et tellement gentil...! Ce qui fait que je suis d'autant plus triste de la fin, où personne ne pense à lui. C'est ce que je retiens du roman. Même pas les incohérences sur l'univers qui permettent la conclusion, juste ce gros sentiment de solitude autour de Tric. Le seul personnage qui pense à lui, c'est en fait l'auteur qui nous laisse un indice pour nous dire que nous devons nous attendre à quelque chose. Personne ne s'inquiète de Tric. Je trouve ça horrible.



Gros bémol aussi pour la scène en bonus à la fin, la scène à trois avec Ashlinn et Mia : elle commence par une agression sexuelle, puisque Mia n'est pas réveillée. Bof du coup. Heureusement qu'elle n'est pas dans le corps du roman (même si elle n'a pas été retirée pour cette raison).



Ce roman m'a parlé, pourtant ! Il y a plein de choses intéressantes dedans !


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J'ai d'abord eu du mal à entrer dans le tome 2. Il y a pas mal d'informations qui sont répétées (comme le fait que les événements de fin du tome 1 se sont déroulés huit mois avant), en plus de la tendance de l'auteur a réemployer les mêmes expressions à deux ou trois paragraphes d'écart, ce qui peut être assez agaçant. Dans le tome 1, il appelle parfois ses personnages par "la blonde" ou "la brune", mais là c'était vraiment tout le temps et assez agaçant (ce qu'il ne fait plus du tout dans le tome 3). Du coup, le mélange de tout ça fait qu'il m'a fallu un peu de temps pour entrer véritablement dans l'histoire. Une fois que ça a été fait, je me suis laissée prendre au jeu.



Si je comprends le couple Mia/Ashlinn, qui a été préparé dès le tome 1 avec des indices quant aux sentiments d'Ashlinn pour Mia, que tout est expliqué sur le pourquoi du comment, le besoin de réconfort, le danger, l'amitié qui a précédé, etc., je n'ai pas réussi à m'attacher à ce couple, et ce sentiment m'est resté dans le tome 3.



J'ai beaucoup aimé la conclusion de ce tome 2 ! Tric m'a en revanche beaucoup manqué.


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Au début, j'ai eu peur. Quand j'ai lu le résumé dans les rayons de la Fnac. "Notre-Dame du Saint-Meurtre", l'école dans laquelle on meurt, ça paraissait un peu trop. J'ai quand même ouvert le livre. Et j'ai été happée par l'écriture.



J'ai eu un peu de mal au début parce que le trait de cette République inspirée de la République romaine, dans laquelle se déroulent toutes sortes de choses sordides, était un peu trop poussé, un peu exagéré, un peu caricatural. Pourtant, ça s'arrange ensuite.



J'ai aimé le mélange, l'équilibre, entre la dark fantasy et le YA. J'ai aimé tous les personnages, absolument. Je garde de ce roman un bon souvenir, malgré les nombreuses incohérences qui traînent ici et là... ça m'a plu suffisamment pour que je me souvienne de ce roman sans colère ou déception, ce qui n'est pas une mince affaire !
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Avant même d'avoir commencé cette saga j'avais déjà acheté les trois tomes et j'étais plus que contente de pouvoir enfin entamer ce roman. Malheureusement mon enthousiasme a été légèrement douché car j'avoue avoir eu du mal à rentrer dans l'histoire pendant la première moitié du roman (sur 775 pages c'est non négligeable). J'ai trouvé ce début assez long même si je comprend parfaitement que c'est nécessaire à la mise en place de l'univers et des personnages. Heureusement passé ce cap j'ai adoré ma lecture que j'ai trouvé très prenante et passionnante. J'ai beaucoup aimé l'ambiance "école" avec ces épreuves et ses particularités. Cela amène également un beau lot de rebondissements et d'hypothèses car l'intrigue est très bien maîtrisée par l'auteur. Au final j'ai très hâte de continuer cette saga malgré les petites longueurs que j'ai pu trouver au début du roman.
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Un roman dans la continuité du premier tome :

• Un style et un vocabulaire modernes

• Des dialogues rythmés et souvent tranchants

• Des scènes d’action, de combats, parfaitement mises en scène, prenantes et même haletantes

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Deux livres dans ce tome deux‌,

I- Le premier mariant le présent et un passé, vieux de quatre mois cette fois, et à nouveau agrémenté des commentaires croustillants ou simplement historiques de notre mystérieux conteur.

• Le passé reste un chouïa plus lent, sans doute par le besoin de poser le nouveau décor

• La machine met tout de même 200 pages avant de passer la seconde et même à la limite de s’emballer !

• Thèmes : les dérives d’une république autoritaire, autocratie pour les riches

II-Le second, cette fois pur présent, un présent souvent haletant où le plan mis en place par notre héroïne prend forme.

• En parallèle, la relation avec son ennemie-amie se tisse, s’enflamme !

• Tout cela en intercalant des actions vives et des transitions plus moles...

• Et puis, grande question : la fin justifie-t-elle les moyens ? Trahison 🆚 trahison !



Au final,

- Un ton, un rythme d’écriture et un humour tout trois agréables

- Des actions et des dialogues ciselés et bien entrainants

- Mais un scénario moins riche (pour les 800 pages en tout cas) et plutôt lent au global

- Et quand même une fin, elle, riche, spectaculaire, coup de théâtralisée et avec un bon gros cliffhanger des chaumières !