Crisse

Étant fan de mythologie gréco-romaine, il n'a pas été très difficile pour moi de me décider à suivre les aventures d'Atalante, d'autant plus que Crisse est un illustrateur dont j'apprécie énormément le travail. Ses dessins et les couleurs choisies donnent d'ailleurs un aspect riche et chaleureux à l'histoire. Et que cela soit les personnages ou les décors, tout est empli de détails. La lecture se fait ainsi autant par les textes que par les images.



Il est difficile avec ce premier tome de se faire une réelle idée de la qualité de la série. Ce qui est souvent le cas avec les premiers opus des sagas. On peut très bien trouver un premier tome très bien, et la suite passable, et inversement. Ici, malgré les qualités flagrantes de l'oeuvre, ce premier volume est en grande partie consacré à la présentation d'Atalante, et des argonautes (très rapidement). Pour ceux qui connaissent le mythe, il est assez facile de s'y repérer. Pour ceux qui n'en ont jamais entendu parler, je pourrais comprendre que ce tome soit assez obscur concernant certains détails. Pour ma part, j'ai très bien accroché. Ma lecture du mythe remonte un peu, et n'étant pas une puriste, je vais suivre sans aucune hésitation les prochains tomes.



L'humour, très présent, est aussi l'une des raisons qui font de cette lecture un très bon moment de détente. le machisme des hommes de l'époque est très bien débouté par les répliques de notre héroïne, on se moque gentiment des Dieux et certains personnages font très bien office de pitres ou de dindons de la farce. Je ne sais pas si ce ton-là restera dans la suite des aventures, mais j'espère que oui, car j'aime bien ce côté un peu franc, rentre dedans. Affaire à suivre, donc.

Où comment la disparition de Dieu sème la zizanie chez les moutons...

J'ai beaucoup aimé ce premier tome du "Pré derrière l'Eglise" et ses dessins très bucoliques, aux couleurs tendres et aux personnages aux traits pleins de caractère. Il s'agit d'une histoire complète, très drôle, qui se moque des humains en mettant en scène des animaux (un peu comme dans Le Château des Animaux, en beaucoup plus léger).



Kilkenny, son église, son pub et ses moutons : un village irlandais typique, si ce n'est que le pub est accolé à l'église (ce qui divise les villageois) et que le curé s'entraîne pour ses sermons dans le pré juste derrière l'église, devant les moutons qui pensent avoir affaire à Dieu en personne. Le jour où le curé disparaît, c'est l'inquiétude chez les moutons qui se mettent à avoir des tas d'interrogations métaphysiques tandis que les villageois, tout aussi perturbés, cherchent des coupables...

Et le happy-end apporte le soulagement tant dans le village que dans le pré des moutons.



J'ai passé un excellent moment avec ce premier épisode du Pré Derrière l'Eglise et j'ai hâte de découvrir le deuxième tome de cette série, Miss Kelly Penny...

J'ai adoré retrouver les dessins très bucoliques, aux couleurs tendres et aux personnages aux traits pleins de caractère.



Il s'agit d'une histoire complète, qui peut être lue indépendamment du premier tome (il y a quelques références au premier épisode, mais rien qui n'empêche de suivre le récit). A nouveau, c'est très drôle : les auteurs se moquent des humains, en particulier de leur rapport à la religion, en mettant en scène des animaux.



La tranquillité retrouvée de Kilkenny est bientôt troublée par l'arrivée d'une jeune institutrice qui coïncide avec le retour de la Dame Blanche qui hante le village depuis des années. Et ceci alors qu'un des agneaux du troupeau a des visions : certains y voient le signe qu'il est un Elu, surtout lorsque des miracles sont accomplis...



Il ne m'a manqué que l'effet de surprise pour que je sois aussi conquise que pour le premier tome...

Le tome 5 s'achevait tragiquement avec la mort des Boréades, Calaïs et Zétès. Les argonautes poursuivent leur route mais Poséidon les fait échouer dans un endroit plein de morts vivants. L'un d'eux d'ailleurs attaque Raksos et le mord. Atalante, Orphée, Niklé, Méléagre et Pyros décident de descendre aux Enfers pour trouver un remède pour sauver Raksos.

Toujours de très belles planches et de l'humour.

Comme le tome 4, ce tome laisse un beau suspense et donne très envie de lire la suite.

Ayant apprécié les deux premiers tomes de la série Atalante, c'est tout naturellement que j'ai emprunté à la bibliothèque le tome trois : Les mystères de Samothrace.

L’équipage de l’Argo débarque sur une île mystérieuse...

Dans leur périple, ils découvrent un magnifique palais entièrement creusé dans la roche d’une grotte...

Attaqués par les Mirmidos, ils s’y réfugient mais s’y retrouvent prisonniers... Parviendront-ils à s’en libérer ?

Les mystères de Samothrace est un tome très réussi autant au niveau de l'histoire que des dessins ou de la colorisation. J'aime beaucoup le trait de crayon de Crisse, et il ne m'a pas déçu avec ce tome trois.

Atalante ne change pas, elle est toujours aussi sexy, intrépide, et avec elle on ne s'ennuie pas.

L'Egypte s'invite ici, pour mon plus grand plaisir de lectrice. On ne s'ennuie pas une minute, il se passe toujours quelque chose et l'ensemble m'a captivé.

Vivement la suite, j'espère que le tome quatre sera dispo demain à ma bibliothèque :)

Ma note : cinq étoiles

A sa sortie, je n'ai pas résisté à m'offrir Le pré derrière l'église - Le Pink Clover de Crisse (scénario) et Christian Paty (dessins et couleurs).

Depuis toujours le curé de Kilkenny vient réviser son prêche devant les moutons qui l'écoutent pieusement, dans le pré derrière l'église.

Un matin, il ne vient pas, ni les suivants.

Un écureuil et un vieil hibou vont mener l'enquête sur cette disparition, pendant que les ovins se déchirent pour succéder à celui qu'ils prennent pour Dieu et les humains se divisent pour le pub accolé à l'église !

Le pré derrière l'église - Le Pink Clover est une très belle bande dessinée.

C'est un bel objet avec une couverture épaisse, et des pages de qualité. J'ai craqué sur la couverture, avec ce bélier qui a l'air diabolique.

L'histoire est une réussite. Quelle bonne idée de mettre à l'honneur des moutons, dans un pâturage, ainsi que quelques chèvres, un bouc. Sans oublier un cochon, un chien de berger. Un écureuil et un hibou surveillent tout ce petit monde, menant l'enquête.

Pourquoi le curé, que les moutons surnomment Dieu, ne vient pas ? Il a l'habitude, tous les matins, de leur apporter des friandises et de répéter son sermon devant eux.

Mais un jour, plus de friandises ! Alors les moutons s’inquiètent, spéculent..

Le hibou est persuadé qu'il est mort (sans pour autant dire la vérité aux moutons) et il cherche la vérité... Qu'à t-il bien pu se passer l'autre soir ? Le curé est mort, mais qui l'a assassiné ? Et pourquoi ?

Nous suivons donc des animaux mais nous suivons aussi quelques humains, ceux qui par exemple fréquentent le Pink Clover, ce pub qui jouxte l'église.

Le pré derrière l'église - Le Pink Clover est une bande dessinée dont j'ai apprécié les textes mais également les illustrations qui sont très réussies et joliment colorisées.

Il est plaisant de suivre la vie de ce petit village irlandais et ses ouailles (humains comme animaux). Les personnages sont très intéressants et il est amusant de voir ce que peut donner la religion chez les animaux. Sont t-ils différents de nous ? Je n'en suis pas sure ;)

J'ai été surprise par la fin, car il y a des rebondissements jusqu'aux dernières pages.

Un second tome devrait voir le jour dans quelques mois.. j'ai hâte :)

J'ai été charmée par ma lecture.

Ma note : un très gros cinq étoiles.

Passionnée de mythologie, j'ai emprunté cette série de complètement par hasard 'enfin, pas complètement puisque je me suis laissée guidée par le résumé qui se trouve en quatrième de couverture).



Ici, on découvre le personnage de Luuna, la fille du chef de tribu des Paumakos qui doit vivre sa Grande Nuit ce soir-là. Pourquoi dis-je Grande Nuit ? Il s'agit de celle où elle doit être initiée et passer la nuit entière au coeur de la forêt et rencontrer son Totem, c'est-à-dire, un esprit animal qui la guidera tout au long de sa vie.

Cependant, rien ne se passe comme prévu car il se trouve justement que cette nui-ci n'est pas une nuit comme les autres et qu'un esprit maléfique hante les lieux de la forêt, bien décidé à s'accaparer les pouvoirs de Luuna et de la convaincre à rejoindre les forces du Mal. De plus, le totem qui a choisi Luuna n'est pas Un mais Deux (ce qui est très mauvais signe) loups et qui sont bien décidés à la suivre, non pas uniquement en pensée mais également physiquement, où qu'elle se rende.



Le vieux chêne dans lequel se trouve un esprit pacifique lui conseille d'aller prendre conseil auprès du Grand Cerf Kayuyumari. Saura-t-il trouver les réponses aux questions qu'elle se pose ?

Parviendra-telle à rejoindre sa tribu saine et sauve ?



J'ai été un peu déçue par les couleurs que j'ai trouvé trop criardes mais le graphisme est très bien travaillé et l'intrigue s'annonce bien. A voir !

Je me suis remise à la saga en tombant par hasard sur le dernier tome sorti. Je dois dire que j'avais un peu peur de ne plus me retrouver dans l'histoire car ma dernière lecture remonte à une dizaine d’années je crois. Le tome 5 était le dernier lu et même si j’avais encore en tête une bonne partie des aventures de Luuna, les détails étaient très flous. Mais j’avais envie de reprendre cette saga qui avait su me charmer. C’est donc avec une petite appréhension que j’ai commencé La reine des loups.



Lé début de l’histoire m’a permis de replonger assez facilement, ce qui a été une excellente surprise. On assiste à un conseil avec les esprits de la forêt qui permet de retrouver le fil sans trop de problème et qui donne une assez bonne vision de ce nouvel arc. J’ai tout de même trouvé un peu déroutant le début de La reine des loups. Il y a un bon dans le temps et on se retrouve un peu perdu entre deux époques. Celle où Luuna existait et une autre où elle vit toujours mais des siècles plus tard. On apprend ce qu'elle est devenue par le biais de nouveaux personnages tout en continuant à découvrir la suite de sa vie dans sa véritable époque.



Quand je repense aux premiers tomes, revoir notre héroïne aussi changée et un choc. Il y avait toujours cette lueur d’espoir en elle et cette naïveté qui ici sont totalement éclipsés par sa soif de vengeance. Mais je trouve l’idée très intéressant. De voir comment les événements ont pu la toucher, la changer, et se demander s’il y aura une voie de rédemption possible.



Elle s’est coupée du monde, en un sens, et le peu de liens qu’elle pouvait encore avoir avec ses proches, notamment, ses anciens amis, les pipinuts qui l'accompagnaient tout le temps au cours de ses quêtes, n’existent plus. Du coup, on se demande si en ayant passé un pacte avec Unkui, Luuna a encore une chance de basculer du côté lumineux, ou du moins de dompter sa partie sombre. Il y a un réel potentiel à ce niveau-là, et j’ai hâte de voir ce que cela va donner.



La fin laisse entrevoir plus d'explications et sûrement un retour aux sources, du moins c'est ce que j'espère car ce tome ne m'a pas forcément convaincu à 100%. J'ai mis quatre étoiles cependant car je crois au potentiel de ce nouveau cycle. La reine des loups est surtout introductif pour moi, et je suis certaine qu’avec un peu plus d’explications, la suite saura me charmer.

Il y a un petit moment que je souhaitais lire la série de bandes dessinées Atalante de Crisse. Quand mon regard a croisé le tome un à la bibliothèque, je l'ai emprunté sans hésiter.

Atalante a été abandonnée dès sa naissance par son père. Elle reçoit des dons par différentes déesses mais une malédiction par la déesse Héra qui la condamne à vivre sans amour. Atalante est recueillie par les êtres de la forêt. Nymphes, satyres et dryades lui apprennent le langage des animaux. Devenue une belle aventurière, elle se joint aux Argonautes dans leur quête de la Toison d'Or. Elle est la seule femme autorisée à suivre les plus grands héros grecs dans cette fabuleuse aventure.

Le pacte est le tome un de la série.

Crisse nous fait découvrir (ou redécouvrir) la plus rapide des chasseresses. Je connais mal la mythologie grecque et j'ai trouvé l'histoire de cette BD passionnante. Je vous avoue que je ne connaissais pas du tout Atalante, c'est une totale découverte pour moi !

J'adore le trait de crayon de Crisse, les personnages et les décors sont très joliment dessinés. On a là une magnifique bd. J'apprécie que l'auteur fasse évoluer son héroïne dans un univers mélangeant la fantasy et la mythologie. Cela fonctionne parfaitement.

J'ai beaucoup aimé les textes, l'histoire, tout m'a plu dans cet ouvrage. J'espère que la suite est disponible dans ma bibliothèque car je serais ravie de poursuivre ma lecture des aventures d'Atalante, une femme captivante :)

Ma note : 5 étoiles

Dans ce cinquième tome, qui est aussi la fin du premier cycle, Luna doit affronter ses propres démons, c'est-à-dire, la force obscure qui est en elle. C'est du moins ce que le grand chaman de la Cité d’Émeraude lui a confirmé. Pour être débarrassée de la malédiction que le grand esprit maléfique Unkui lui a lancé en la dotant de deux totems, l'un bon et l'autre mauvais (et qui, malgré leur disparition, continuent à la hanter), aucune potion n'est capable de la guérir. Elle seule a le pouvoir de se délivrer mais, pour cela, elle devra affronter de dures épreuves. Accompagnée et guidée par le prince Tchotapak, elle se rend donc, en esprit, grâce au cercle des miroirs, dans un endroit où nul être humain n'est accepté, la cité du treizième cercle. Elle y fait la connaissance du prince des ténèbres, le dieu-jaguar Tezcatlipaca qui, s'il l'accepte, la mènera vers son destin. Parviendra-t-elle à terrasser les démons qui l'habitent ? Et si oui, au prix de quels sacrifices ?



Une fin de cycle qui laisse le lecteur sur sa faim avec un scénario rondement bien mené et un graphisme toujours aussi bien travaillé. Pour ce qui est des couleurs, bien qu'elles soient moins criardes qu'au début (ce qui est logique étant donné qu'au fil des tomes l'histoire s'obscurcit), je m'y suis finalement peu à peu habituée ! De plus, ce que j'ai bien aimé dans ce tome, c'est que le lecteur voit l'apparition d'une trame de ce qui pourrait bien être une histoire d'amour mais...



Je ne vous en dis pas plus. A découvrir !

Encore un très joli opus.



Cette fois c'est Atalante et ses amis qui se retrouvent en Egypte grâce à un portail magique.

Le chaton Ramsès est venu trouver Atalante car sa maîtresse la jolie danseuse à la peau de miel, Ishanti a disparu.

Atalante accompagnée de ses fidèles amis va devoir déjouer les plans de Razor mais aussi du Dieu Seth qu'elle va défier ... à la course !

Une très belle course qui manquait d'ailleurs dans le tome 1.

Les dessins sont toujours aussi chouettes. J'ai aimé cette rencontre mythologie grecque et mythologie égyptienne.

A découvrir

Je n’ose pas regarder depuis quand j’attendais ce tome cinq… Si vous me dites qu’il y a cinq ans que le tome quatre est sorti, je vous croirais sans problème… C’est assez dommage mais avec plus de quatre séries en cours, il doit être assez difficile pour Crisse de pouvoir tout gérer. Ce qui est embêtant, c’est que les quatre séries que je suis en bande dessinée, sont toutes de lui… J’espère qu’il reprendra un rythme un peu plus soutenu à présent.



Mais revenons à ce tome cinq. Je me souvenais vaguement de ce qu’il s’était passé avant, mais je me suis rapidement remise dans l’histoire. Atalante et les Argonautes sont en mission pour récupérer deux de leurs compagnons : Calaïs et Zétés. Le titre du tome est d’ailleurs les prénoms des deux jeunes frères. Avec le secours des chevaux ailés de Zeus et aux chimères, les Argonautes partent donc pour le royaume des Harpies. Et malgré cela, il n’y a pas tellement d’action en soit. Ce n’est pas une critique négative, j’ai dévoré le tome, mais je m’attendais à pas mal de baston ! En fait, l’histoire est entrecoupée de l’enfance d’Atalante et de plusieurs autres scènes concernant d’autres personnages. Ces petites pauses dans l’histoire principale sont très intéressantes. Elles nous permettent d’en apprendre beaucoup plus sur notre héroïne, de façon détournée ou pas. J’aime beaucoup ces passages, notamment parce qu’ils nous donnent l’occasion de voir des créatures mythiques mais aussi les Dieux et les Déesses de l’Olympe. J’adore la mythologie grecque donc pour moi, c’est toujours un plaisir.



Sans compter le fait que j’apprécie énormément le style de Crisse et la colorisation de Fred Besson. Les dessins sont magnifiques, plein de détails, fluides, plutôt sexy mais sans être vulgaire. Leurs richesses est d’ailleurs rehaussées par les couleurs choisies. C’est avant tout un univers graphique complet et assez épatant. C’est toujours ce qui m’a attiré chez les bandes dessinées de Crisse. J’adore regarder les détails de ses personnages, des paysages et de tout ce qu’il crée.



Et puis, il y a l’humour. J’ai toujours le sourire aux lèvres avec Atalante. La jeune amazone n’est pas forcément drôle, mais ses compagnons ont toujours une répartie et un langage assez coloré ! Et j’adore ça. Même si ce tome est teinté par une certaine tristesse… Je ne m’attendais pas vraiment à cela en commençant le tome. L’optimisme du scénario jusqu’à présent ne m’avait pas préparé à cela. Pourtant au début du tome je m’étais posée une question concernant l’événement majeur de la fin du tome. C’est peut-être le moment énonciateur qui nous prouve que les choses sérieuses vont commencer pour la troupe de Jason.



J’ai vu que le tome six était sorti fin 2013, donc c’est une très bonne chose !

C'est dingue comme on peut changer d'opinion d'un tome à l'autre ! Et qui plus est, en bien ! Dans ce tome, l'on rencontre un nouveau personnage, un très vieil homme qui se fait appeler "Lynx invisible" qui est aussi connu sous le nom du "Gardien-des-Grandes-choses-passées". J'ai trouvé ce dernier très attachant car, n'ayant pas pu devenir guerrier quand il vivait encore auprès de sa tribu, il est devenu conteur. Il a donc raconté plusieurs histoires à Luuna, dont la sienne qui est assez dramatique d'ailleurs. Il lui enseigne que dans toute histoire, il y a une morale à tirer et que cette même morale, qu'elle soit bonne ou mauvaise, nous enseigne la vie, tout simplement !



Cette nuit-là, étant soir de pleine lune, c'est le totem du mal qui prend possession de le jeune Paumanok, celui au service de l'esprit maléfique Unkui, assoiffé de sang.

Bien qu'elle soit aidée par ses jeunes amis esprits pipinuts, des sortes de petites marmottes rouges, Luuna parviendra-t-elle à contenir ses esprits meurtriers ?

Réussira-t-elle à aider, comme elle le lui a promis, le vieillard qui ne dort plus depuis que son propre totem l'a abandonné et qu'il a vu sa femme tuée sous ses yeux et son fils enlevé ?



Un tome rondement bien mené et une histoire très touchante ! A découvrir ! En ce qui me concerne, j'ai hâte de me plonger dans le troisième tome !

Un tome 3 très réussi !



Visuellement les BD Atalante sont de pures petites merveilles. Les dessins sont magnifiques et la mise en couleurs au top.

Nous retrouvons notre Héroïne sexy avec ses mais de l'argonaute en mauvaise posture. Suite à une tempête, le bateau n'a plus de mat. Un petit groupe va partir en exploration sur une île mystérieuse afin de réparer le navire. Jason, Héraclès (ce personnage me fait mourir de rire), Orphée et Atalante vont découvrir un temple construit dans la montagne. Là, ils vont se confronter à d'autres figures mythologiques (le sphinx, le minotaure et l'hydre de Lerne) mais aussi des figures de l'Egypte antique.

Les héros devront affronter des épreuves. On apprendra un peu plus de choses sur Atalante grâce à des flashback.

Un nouveau personnage entre en scène Pikitos qui est hilarant.

J'aime beaucoup l'humour présent dans la série Atalante.

La chute de la BD est particulièrement réussie.

Belle trouvaille ce week end que cette BD qui me tendait les bras. Cela fait un moment qu'Atalante me faisait de l'oeil. Si j'adore la mythologie grecque, je suis moins fan du format BD. J'ai donc sauté le pas (à 3 euros le risque n'était pas bien grand). Et là j'ai pris ma claque. J'ai vraiment beaucoup apprécié ce premier tome. Atalante est peu évoquée dans les romans ou albums et c'est dommage parce qu'enfin on a une héroïne ! Destinée à être sacrifiée suite à un mauvais oracle, atalante pourtant fille de roi, échappe de peu à la mort. Heureusement, quelques déesses vont se pencher sur son berceau pour lui donner des dons. Aphrodite lui donne d'ailleurs la beauté et la séduction. Atalante sera recueillie par les faunes et autres créatures mythologiques de la forêt. Elle grandira et décidera de prendre part à la quête de Jason et des argonautes (la conquête de la Toison d'or). Mais dans un monde de mecs, gagner sa place à bord de l'Argo, ça se mérite.

C'est un plaisir de replonger dans la mythologie. J'ai apprécié les dessins. Les créatures sont vraiment élaborées, les couleurs magnifiques. C'est plein d'humour. Atalante est très sexy mais la part de féminisme en moi n'a pas suffoqué de colère. Le personnage m'a paru bien coller avec la mythologie et le don d'aphrodite. J'ai trouvé les autres personnages magnifiques (Aphrodite est renversante). Bref, bd dévorée d'une traite. J'ai hâte de découvrir les autres tomes.

Un tome qui fait suite directement aux aventures du tome 4.

Les frères boréades sont en mauvaises postures , prisonniers des harpies. Atalante et ses compagnons de l argo parviennent grâce aux chevaux ailés de Zeus et à la chimère à s introduire sur le territoire des furies.

Si l humour est toujours présent et agréable, la série prend un tour plus dramatique. On se dit que c est un peu fini la rigolade, les choses sérieuses commencent.

On apprend plein de choses sur Atalante qui devient aussi plus mature dans ce tome.

J ai vraiment apprécié la mise en couleurs et les dessins de Crisse.

Par contre j ai vraiment été triste. Les Argonautes ne sont pas imbattables.

Encore un tome très chouette mais dont la fin m'a clouée sur place.



Rien à redire sur les dessins et la mise en couleurs. C'est toujours du bon boulot.

J'ai été ravie dans ce tome de voir des créatures mythologiques dont on parle moins comme la chimère et franchement j'ai été épatée par les dessins mais aussi les traits de caractères attribués à ces bestioles.

En voulant se couvrir de gloire, Zétès et Calaïs, les enfants du dieu Borée sont faits prisonniers par des Harpyes. Atalante et Héraclès vont tenter de les sauver. Seulement cela ne va pas être simple car les Harpyes vivent sur des sommets escarpés où il faut se rendre en volant. Atalante va déployer toute sa ruse. Jolie on le savait, un franc parler aussi, mais maline et rusée en plus.

Il y a toujours beaucoup d'humour notamment avec Héraclès qui ne demande qu'à utiliser son gourdin et à Calamitos .



Aventure, humour et une fin à laquelle je ne m'attendais pas et qui m' a fait l effet d'une douche froide. Pour une fois, en lisant les aventures d'Atalante, j'ai vraiment eu de la peine. J'ai hâte de lire le prochain tome pour savoir si la série prend un tournant radical ou si les choses vont s'arranger.

Lorsque la fée Clochette s'égare dans le Pays des Merveilles d'Alice... Et bien pour moi, c'est un flop.



Il y a un très beau travail sur les couleurs, mais j'ai souvent eu l'impression que les personnages évoluaient dans une sorte de brouillard. Il y a des pages et des pages avec juste un bout d'arbre ou de champignon et du flou en arrière-plan.

En plus, l'intrigue est aussi floue que les illustrations. Il y a beaucoup de personnages (ceux d'Alice au Pays des Merveilles bien sûr, mais aussi beaucoup d'autres) ; ils passent, s'en vont, reviennent parfois mais ça reste brouillon.



Et puis le auteurs ont fait des choix douteux pour les personnages : la fée Clochette a des allures de prostituée avec ses bas résilles et la poitrine débordant de son bustier tandis qu'Alice a quand même une sale tête, presque simiesque, avec les joues bouffies.



On dira que c'était une erreur de casting...

Une lecture vote avalée qui ne me laissera pas un souvenir impérissable. Seuls les couleurs et le speech de cet album m'auront séduit. Pour le reste, graphiquement et scénaristiquement, je n'ai pas du tout été touché par ce récit. Sans doute ne suis-je pas le bon public cible...

Le cadre est celui d'un petit village en Irlande avec ses moutons, ses boucs, ses pâturages, son église et son pub. A noter une certaine particularité car le pub a été adossé à l’église sans doute pour attirer des fidèles.



Le curé surnommé l'homme en noir qui donnait des friandises à ses moutons va soudainement disparaître. Cela va être le point de départ de ce récit où chacun va y aller avec sa théorie. C'est à la fois une BD animalière mais on aura droit également au point de vue des humains qui vont voir le mal partout à commencer par le fameux pub irlandais baptisée « Le Pink Clover ».



Il n'y aura pas de choses fracassantes mais une certaine dérision de la vie dans les villages. On retrouve la douceur de vivre d'une série comme Loisel l'avait fait dans « Magasin Général ». Bref, il faut aimer le genre. Cela sera ponctué par l'humour caustique et parfois la dérision.



Une BD un peu campagnarde qui nous fait respirer un grand bol d'air frais. La messe est dite.